Le retour du printemps

Bonjour à tous.

Avec le premiers jours du printemps, c'est le tout début de la floraison des tulipes de De L'Ecluse de la station de Rieux.







Comme le pluviosité a été très importante cet hiver, la floraison devrait particulièrement abondante.

Tout dernièrement, dans les collines boisées des Petites Pyrénées, on pouvait trouver des narcisses en grandes quantités.









A bientôt.

Bonsoir Michel,

Tu nous rassures, alors le printemps arrive.....enfin
Tu es comme l'hirondelle qui annonce le printemps alors , cela va venir aussi chez nous autres.....ENFIN

Merci, amicalement, Claude;

Bonsoir à vous
Jolies photos comme d'habitude Michel.
Oui enfin il arrive ce fameux printemps mais ici les primevères ont presque un mois de retard.
Gérard

Bonsoir à tous

je vous remercie de m'acceuillir dans votre forum.

Depuis un bon moment , je suis vos sujets.

Je suis en ce moment , en remontage d'un PP4bs .

Je compte sur vous tous , pour vos conseils.

Merci par avance.
Amicalement

viannay

Bien la bonne soirée a toutes et a tous. Je ne veux pas étre polémique mais ce que tu appelle narcisse chez nous ce sont des jonquilles peut ètre que je me trompe car tu en connait bien plus que moi sur le nom des plantes et fleurs peut ètre que chez nous c'est une appelation régionale et c'est un très grand plaisir de suivre ce que j'appellerais des reportages et qui quelque part me manquait donc très content de te revoir . Tu as la chance d'habiter une très très belle région.Cordialement

Bonjour lameatort.

La différence narcisse-jonquille n'est pas facile à faire.
Voici un résumé de ce que j'ai pu trouver :
- la véritable jonquille (Narcissus jonquilla) est caractérisée par le fait qu'une tige porte plusieurs fleurs .
- les photos présentées sont des narcisses jaunes (Narcissus pseudonarcissus) qui n'ont que des fleurs solitaires. C'est le narcisse le plus commun d'Europe.
Ensuite, pour rejoindre ton propos, les narcisses ont plusieurs noms vernaculaires (noms usuels en langue locale) dont bien sûr celui de jonquille.
Ce que dit Wikipedia à propos des différents appellations du narcisse jaune :
. Jonquille, Jonquille des bois ou Jonquille des prés. La jonquille est normalement Narcissus jonquilla. Cela dit, le mot jonquille est autant utilisé pour le narcisse jaune, peut-être même plus pour celui-ci. Le terme français jonquille s'est imposé à partir du début du XXe siècle dans les Vosges touristiques. Il s'est ensuite imposé sous l'influence journalistique.

Voilà.

A bientôt.

Bonjour à tous.

En attendant qu’un printemps digne de ce nom daigne enfin arriver, voici quelques photos prises dans les Petites Pyrénées ces dernières semaines.
Prolongeant vers l’ouest le massif du Plantaurel, les collines des Petites Pyrénées sont parsemées d’affleurements de rochers calcaires qui constituent parfois de petites falaises. Les sentiers circulent souvent à proximité de ces barres rocheuses, soit en se faufilant à leur pied soit en circulant sur leur « dos » faiblement incliné.

Le « Circuit des Crêtes » de Lafitte-Toupière.







Au pied du village, un beau lavoir.







A deux pas de là, c’est le village d’Auzas et son circuit des « Pierres Sèches ».









Depuis ces collines, la vue sur la chaîne, et en particulier le Pic de Cagire, est intéressante.



La ville d’Aurignac, reconnaissable à son donjon, se découpe dans le lointain.



Sur la place du village, hommage à Norbert Casteret, célèbre spéléologue originaire de la région et enterré dans le cimetière du bourg.





Plus près de la Garonne, à Mancioux, c’est le « Circuit des Belvédères » qui parcourt lui aussi des affleurements calcaires.









De là, on aperçoit les « Sentier des Crêtes » de Laffitte.





Le sommet du Pin constitue un superbe belvédère dominant la vallée de la Garonne et la ville de St Martory.





Le retour se fait par le château de Montpezat.





Coup de chance, le portail d’entrée est ouvert.



Manifestement, la forteresse ne court aucun risque car elle est solidement défendue !



A bientôt.

bonsoir toujour de beau reportage quelle bonneur tu mous fait decouvrir merci beaucup

Bonjour à tous.

Aujourd’hui, quelques vues du chemin de Nankin au départ de Proupiary.
Cet itinéraire tire son nom du calcaire Nankin qui est très présent dans le sous-sol de la région et qui constitue le socle géologique du village.
Ce calcaire est caractérisé par une belle couleur ocre qui donne aux bâtiments qui en sont construits un cachet particulier.

Très vite apparaît la grange cistercienne de La Peyrère en pleine rénovation.







Construit au 12ème siècle, ce bâtiment est contemporain de l’ancienne abbaye de Bonnefont située tout près.
« L'abbaye de Bonnefont, fondée en 1136, fut la plus importante de la région. Installée près d'une source dont l'eau arrive directement dans la fontaine du cloître, l'abbaye a joué un rôle important dans l'histoire du village.
Située à quelques kilomètres d'Aurignac, elle sera également à l'origine de la création d'autres villages alentour. Comme de bons paysans, les moines défrichent, cultivent, élèvent... L'abbaye prospère rapidement !
À la Révolution, les sept moines restant sont dispersés tout comme le seront les biens de l'abbaye. Les bâtiments seront détruits à l'exception du corps de logis qui devient corps de ferme et de la porterie. »



Effectivement, il ne reste que peu de choses de l’édifice.





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En fait, beaucoup de bâtisses du Comminges, et même au-delà, ont été construits avec des éléments qui proviennent de cette abbaye : un chapiteau par ci, une colonne par là et bien d'autres choses encore.
On peut ainsi citer l'église de Saint-Martory, celle de Touille ou de Lestelle mais aussi une partie du cloître de Saint-Gaudens.

Autre point d’intérêt sur ce parcours : les murets de pierres sèches qui ont été conservés, et même réhabilités dans certains secteurs.





A bientôt.

Bonjour à tous.

Aujourd’hui, visite de la région d’Aurignac.
Les sentiers de randonnées y sont nombreux et ils portent des noms évocateurs : sentier du patrimoine, des fossiles, des asphodèles, des 7 collines, de l’ouest sauvage, etc.
En plus, une chemin de grand randonnée, le GR86, reliant Toulouse à Bagnères de Luchon décrit des méandres autour de la ville. C’est lui que nous allons emprunter pour l’essentiel.

Dès le départ, la vue du bourg perché sur son arête rocheuse est intéressante.



Dans le bas du vallon, un ancien lavoir apparemment exempt de toute pollution.





Le circuit passe tout près de l’abri préhistorique découvert en 1852 et qui a « hébergé » des humains il y a très longtemps . Les objets qui y ont été trouvés sont exposés au Musée de la préhistoire d'Aurignac ainsi qu’au Muséum de Toulouse. Cette grotte a donné son nom à une période préhistorique : l’Aurignacien (de 35000 à 30000 ans avant le présent)





Plus loin, une vue sur le village sous un autre angle.



Après avoir traversé la forêt de Boussan, notre parcours bascule sur la vallée de la Louge.
Les ruines du château qui dominait ce village se dessinent.





Du château, il ne reste presque rien : un donjon, quelques murs et les vestiges du cimetière.









Maintenant, c’est le retour sur Aurignac en retraversant la forêt.
Au sortir de cette forêt, le village se découvre par la face opposée à celle du matin.





Avant de partir, une visite du donjon et des restes de fortifications s’impose.









Voilà, c’est tout pour cette fois. Mais il nous faudra revenir car il reste beaucoup de choses à voir...

A bientôt.

Bonjour à tous.

Quelques photos du plus des environs d'Aurignac.
D'abord, le sentier des "7 Collines" : ce parcours tourne autour d’Aurignac en passant par les 7 collines qui l’entourent.
Pour nous, la 1ere de ces collines s’appelle « Sauterne ». La signalétique est toute récente et très efficace.



Passé le Col de Bourbon, nous avons une vue sur Aurignac.



Ensuite, c’est le Cap du Bosc (Sauterne est déjà derrière), puis la descente sur la vallée pour remonter à « Martin », colline suivante.
De là, la vue sur le Cagire est bien dégagée.



Un peu plus loin , c’est à nouveau Aurignac.





Vers l’ouest, ce sont les Pyrénées centrales : Pic du Midi de Bigorre et Pic de Montaigu.



Voilà, le circuit se poursuit, souvent en sous-bois, en sautant de colline à en colline jusqu’à arriver à la dernière, le Cap de Caubeton.



Autre parcours, le sentier du « Friquet ».
Ce sentier passe aux pieds du village de Montoulieu-St-Bernard.
On le voit ici depuis le chemin de la Lave : au premier plan Montoulieu, ensuite Bachas sur la vallée de la Louge et, dans le lointain, Le Fousseret.



Le principal intérêt de ce circuit est la cascade de la Piche.







De là, il ne reste plus qu’à remonter vers la voiture...







Dernière balade, le sentier du Patrimoine.
Le départ se fait vers le nord, en direction de la forêt de Boussan du côté du Ravin des Communaux.
Le village toujours perché sur son promontoire.





A la sortie de la forêt, nous apercevons le château de Boussan déjà visité.



De retour à proximité de Montoulieu, c’est la piscine gallo-romaine située dans une propriété privée.



Coup de chance, le propriétaire des lieux est là et une rapide visite est possible.







Plus loin, le circuit passe à proximité de la chapelle Notre-Dame-de-St-Bernard.



Enfin, sur le chemin de crête qui nous ramène au Cap du Bosc, une belle vue sur le village de Alan avec Le Fousseret en arrière plan



C’est tout.
A bientôt.

Bonjour à tous.

Deux autres sentiers au départ d’Aurignac.
D’abord, celui des Asphodèles.



Les restes d’un ancien four à chaux le long du chemin qui monte en direction du col de Joulin.



Sur la crête qui relie le Cap de Portet à la colline de Joulin, les asphodèles sont bien là. Et en pleine floraison...









Depuis la colline de Joulin, le panorama sur 360° permet d’apercevoir tous les villages des environs et surtout Aurignac tout proche.





Il ne reste plus qu’à rentrer en ville en flânant dans les rues.







Quelques jous plus tard, le sentier des Fossiles.

Dans la ville, les ruelles du côté des anciens remparts.





Le début du sentier est commun avec celui des Asphodèles jusqu’au col de Joulin. Ensuite, il descend dans une combe séparant la colline de Portet de celle du Comtal.
Les pierres calcaires visibles à droite du sentier sont caractéristiques des roches sédimentaires marines des Petites Pyrénées. Et des fossiles, il y en a :





Une fois arrivé sur la vallée de la Louge, l’itinéraire revient vers Aurignac à travers le bois de Boussan. Les arbres commencent à mettre leurs feuilles, ce qui rend les sous-bois encore plus agréables.







A bientôt.

Bonjour à tous.

Aujourd’hui, une petite visite dans le Sabarthès pour la première sortie véritablement montagnarde de l’année. Il n’est pas question de monter trop haut car la neige est encore là.

Le départ se fait de Quié, petite localité touchant Tarascon-sur-Ariège, et le but à atteindre est le village de Génat.
Quié est au pied de falaises imposantes et l’itinéraire doit rejoindre le plateau qui se trouve au dessus en passant par le col du Trou. Donc, ça va monter...
Le col est là-haut, bien au dessus des pylônes.



Bien que la pente soit très sévère, la montée est rendue agréable par la présence de haies entièrement fleuries.





Barrant l’entrée de la vallée de Saurat, les vestiges du château de Calamès sur son piton rocheux.



Après pas mal d’efforts, le col du Trou est atteint. Suit une légère descente et c’est le plateau de Sandier avec ses prés entièrement recouverts de fleurs de pissenlits.







Un peu à l’écart du chemin, la carte indique la perte d’un petit cours d’eau. C’est l’occasion d’aller voir.
Il faut se glisser sous les arbres et descendre dans la petite cuvette.
Effectivement, l’eau se faufile dans un trou du rocher.





Même en s’approchant au maximum, on ne voit rien. Grâce au flash, on devine la paroi en face, mais on ne voit pas le fond. Pas rassurant...



Génat est dépassé et l’itinéraire nous ramène maintenant vers Quié.
On ne se rend pas compte, mais juste après la prairie débutent les falaises qui dominent la vallée du Vicdessos un peu en amont de Sabart.



Plus loin, c’est l’abri pastoral et la fontaine de St-Martin.





Le col du Trou est franchi dans l’autre sens et c’est la descente raide vers Quié.
A travers les arbres, une vue sur la Roche Ronde dominant la vallée de la Courbière.





Au bord du sentier, une fritillaire des Pyrénées.



Plus bas, Tarascon-sur-Ariège est visible.





Et puis Quié, fin de la balade.



A bientôt.

Bonsoir,

Un avant gout de vacance.

Bravo pour ton reportage photo

Bonjour à tous.

Cette randonnée, qui pourrait s’appeler « La soulane du Vicdessos », emprunte les sentiers utilisés jadis par les habitants du versant de la vallée exposé au sud (la soulane) pour se déplacer de village en village.
L’itinéraire part de Lapège (960 m), rejoint Illier (880 m), puis Orus (1000 m)et enfin Sentenac (920 m). Tout cela en suivant un chemin en balcon dégageant des points de vues sur le creux de la vallée, sur les villages du versant opposé ainsi que sur la haute montagne (le Pic de Montcalm) si le ciel est dégagé.
Pour le retour, il faut descendre à Vicdessos (710 m) puis remonter à Illier et rejoindre Lapège par le sentier emprunté à l’aller.
Au départ, le sentier démarre vers l’ouest, quasiment à l’horizontale.



Ici, l’eau est omniprésence, signe qu’il a beaucoup plu ces derniers jours.



La vue sur la vallée est remarquable.





Dans une courbe du sentier, on aperçoit Illier encore bas.



Encore de l’eau.



Après une descente, c’est l’entrée dans Illier.



Le sentier monte maintenant vers Orus. Et il y a toujours de l’eau...



Après avoir dépassé le point le plus haut de l’itinéraire, on aperçoit le village.



Toujours de l’eau...





Orus est maintenant derrière nous.



Vers l'avant, c’est le sentier taillé en balcon avec le village de Vicdessos juste au dessous.







Nous apercevons la Serre de Bège avec sa pente impressionnante. Normal qu’elle nous ait tant fait mal aux jambes au début de l’été 2012 !





Dans l’axe de la vallée montant au Port de Lers, on découvre le village de Suc.



Puis Sentenac au premier plan, pointe extrême de l’itinéraire.



Dans le village, un surprenant bassin taillé dans un gros bloc de granite.



Un dernier regard vers la Serre de Bège, avant de descendre vers Vicdessos.



Arrivés dans le village, dans le fond de la vallée, c’est l’heure du casse-croûte. Il sera rapide ce casse-croûte car la route est encore longue et il faut rapidement repartir.
Les vestiges d’un pont sur le ruisseau du Vicdessos.



Après ce moment de répit, le sentier commence à s’élever pour rejoindre la soulane.
De l’eau, toujours de l’eau...



La montée a été rude mais Illier est atteint puis dépassé.



Bientôt, on aperçoit l’église de Lapège (le village lui-même est caché par l’avant-plan).





Il reste encore quelques vieilles granges à longer.







Puis c’est (enfin) l’entrée dans Lapège et donc le retour au point de départ.



En résumé, un circuit superbe mais rendu difficile plus par sa longueur que par son dénivelé. D’autant plus que l’entraînement nous fait cruellement défaut à cause du mauvais temps persistant...

A bientôt.

Bonjour Michel,

Cela donne vraiment envie d'aller faire prendre l'air à mes "godasses" de marche.
A bientôt

Roland.

Vous venez quand vous voulez.
Cela vous changera de la garrigue !

A bientôt.

Bonjour a tous.

Merci Michel pour tes photos

Ca donne envie de partir en vacances.

A+Robert

bonsoir , a tous , ...............

bravo ,et merci Michel .....,.. ................... joli coin ,rien a envier a nos alpes très pittoresque.............combien de km de marche pour faire ce périple, faut-il réservé un gite pour faire ce tour

en tout cas ,tu l'as fais par un temps meilleur que celui du lois de mai

a bientôt michel et bonne soirée PS: ça ce ferait en motoculteur?
,

Bonsoir Septy.

Cette boucle doit faire environ 25 km.
Cela ne fait que 6 heures de marche et le gîte est parfaitement inutile. De toutes façons, il n'y en a pas sur ce parcours de basse altitude.

Pour ce qui est du (mauvais) temps, ici c'est comme partout ! Ce périple a été fait lundi dernier (27/05) et, dès le soir venu, la pluie recommençait.
Quand un bon créneau est annoncé, il ne faut pas le rater...

A bientôt.

Bonjour à tous.

Toujours dans le Vicdessos, mais cette fois côté ubac (opposé à la soulane), voici une randonnée sur le sentier des mines.

Les mines de Rancié sont d'anciennes mines de fer situées en pleine montagne à Sem, en Ariège. L'exploitation a commencé, à ciel ouvert, au sommet du pic de Ganchette qui culmine à 1 596 m . Par la suite des galeries furent creusées toujours en descendant, la dernière, ouverte à le fin du XIX° siècle, est située sous le village de Sem à environ 900 m d'altitude. Exploitées depuis l'Antiquité, elles deviennent à l'époque moderne la plus importante exploitation de fer des Pyrénées françaises, avant d'être fermées en 1929.

Le sentier part du fond de la vallée, à Cabre,et remonte la belle cascade formée par le ruisseau de Sem.







Tout au long du chemin, des panneaux explicatifs : nous sommes bien sur le sentier de la mine...



Une autre époque...



La belle demeure du « sieur de Cabre » :



En face et en plein soleil, Orus, un des villages de la soulane visités il y a quelques jours.





A force de remonter le ruisseau, nous arrivons au « Pont de la République ».









Son nom provient de celui de la galerie située à proximité, la dernière et la plus basse des galeries creusées. L’entrée de cette galerie n’est plus visible, car totalement effondrée.





Juste au dessus, le village minier de SEM.





Au bout du village, l’entrée de la galerie de Becquey.







Nous abandonnons ici le sentier de la mine pour partir à l’opposé, en direction du col de Rizoul. Les vaches nous y ont précédés.



Juste à côté, un promontoire domine la vallée. En face, le sentier de la soulane parcouru il y a quelques jours.
Orus.



Suc et Sentenac.





Tout là haut, le col de Saleix, porte d’entrée dans le Couserans. C’est par là que passait une partie du minerai du Rancié : il était exporté vers les forges du Haut-Couserans en échange du bois qui faisait défaut aux forges du Vicdessos.



Sous nos pieds, Vicdessos et Auzat.



Vers le sud, Goulier.



Derrière nous, le col de Rizoul avec, en face, le Pic de la Ganchette : c’est sur son flanc que se trouvent les galeries supérieures de la mine.



Notre itinéraire suit maintenant le GR10 jusqu’au col de Grail, encolure que l’on découvre depuis le col de l’Esquérus.



Quasiment horizontal, le GR10 ne présente normalement aucune difficulté. Malheureusement, quelques coulées de neige barrent le passage : ce sont les vestiges de petites avalanches. Le franchissement se fait avec beaucoup de précautions...







Passé le col de Grail, les galeries de la mine sont juste en dessous. Le GR10 passe au col de Lercoul et bascule dans la vallée de Siguer. Au lieu de s descendre directement, nous le suivons encore un peu afin de contourner le Pic de la Ganchette.
Au loin, Siguer et Gestiès.



Bientôt le Pic de la Ganchette est contourné et nous retrouvons au loin le col de Rizoul où nous sommes passés le matin.



Les galeries supérieures sont toutes proches et nous retrouvons le sentier de la mine. Tout est solidement barricadé, tel un blockhaus.











SEM est à nouveau traversé. Mais avant de finir la descente, nous allons voir les vestiges de la trémie et du transporteur aérien à câbles.





La station de réception se trouve en bas de la vallée, à Cabre, juste au bord de la départementale.
Pour terminer, un coup d’œil à la poudrière.





A bientôt.