Le Bois: saison 2023-2024

Charriers a écrit:

Hello Tête de Soupapes, hello à tous

Pour la panne: la machine démarre à froid et cale tout de suite. Ensuite, il faut tirer pas mal de fois sur la corde afin qu'elle se remette en route. Le carburateur a été nettoyé mais ça recommence. Je me demande quelle serait la cause de ce souci.
Cordialement
Charriers

stihl c'est fiable , elle est vieille  ?

étincelle présente ?

BOUGIE  vieille


carbu nettoyage fait ,  plus membrane si elle sont devenues rigide ,

vis de réglage ? il faut les enlever pour le nettoyage


compression bonne ?

pour voir piston chemise , par le pot d'echappement et carbu , si pas de rayures

aplus

ta laisser de l'essence dedans ?


compression bonne ?

Bonjour ,

Vérifies aussi l'étanchéité et les raccords de la poire d'amorçage, j'ai eu les mêmes symptômes sur une débroussailleuse, et c'était simplement une petite prise d'air liée à la poire d'amorçage , qui ne se voyait pas encore , car bien sous le pouce quand on pompait et donc étanche tant que le pouce était dessus ....

Une fois la poire changée facilement pour une neuve tout est rentrer dans l'ordre , et elle ne calait plus ...

Salut
Si la machine cale au coup d'accélérateur -> membrane à changer ... trop rigide.
A+

Bonsoir à tous,

A moi maintenant....

Durite d'alim percée....

Bonne soirée, que le meilleur gagne!

phil

Hello Phil, Polo et à tous

Merci de votre aide pour résoudre ce problème. La membrane me semble une première piste à explorer.

@ Brutus  Il n'y a pas de poire d'amorçage sur ma Sthil MS250

@ Tête  Elle est de 2010 donc 13 ans. Je fais environ 30 stères de bois par an avec. La membrane n'a jamais été changée.
Cordialement
Charriers

Bonjour à tous,

Je fais mon mélange moi-même pour la saison de bois, mais depuis qq années, je fais le dernier plein avec du motomix ... après "l'hivernage", ça redémarre facilement

Bonnes coupes et attention à vous

Moi je bricole pas mal de moteur deux temps,
Pour des gens que je connais, pareil je leurs conseil de mettre de l'aspen a la dernière utilisation
, chose que j'ai fait qu'une fois

Je trouve que les membranes se dessèchent et durcissent beaucoup plus vite qu'auparavant.

Serait-ce un problème de carburant ?

A+

Depuis que l'essence est sans plomb

Durcissement des membranes , c'est pour cela qu'il faudrait mettre Aspen le temps du repos des machines

Bonjour à tous,
Ok sur le plein en fin de saison avec Aspen ou Motomix même si c'est un peu cher;comme l'ami "Charriers" je fais 20 bons stères chaque année au titre de l'affouage et paS d'emmerdes avec mes 3 SthilS MS 390 au niveau mélange que je fais moi même (4%) avec de l'huile bleue grande surface;intérêt elle colore essence donc tu saissi le mélange est fait
En dehors d'un problème de pompe à huile pour le guide plusieurs soucis au niveau de la durite annelée souple qui amène l'essence du réservoir au carbu;les moteurs étants suspendus sur silent blocs pour limiter les vibrations cette durite se fendille à la sortie du réservoir;l'essence ne monte plus
Attention plusieurs modèles;pièce peu chére un peu emmerdante à remplacer(bonne vue petits doigts)
Conseil:allez sur le site "SAEGEN SPEZZI" Allemagne,rentre ton modèle de sthil et tu peux voir en photo toutes les pièces qu'ils vendent pour ta machine;c'est de la pièce d'adaptation à prix réduit ;elles font le bouleau
Pour mes MS 390 j'ai toutes ces petites pièces à quelques euros qui permettent de se dépanner;en même temps pensez à souffler votre crépine
Sur "you tube" il y a plusieurs vidéos qui montrent ces remplacement de membranes et expliquent les pannes dûes à la fameuse "baignoire sous pression" qui permet à ces carbus à membranes de fonctionner dans toutes les positons
Hors sujet:l'affouage est tributaire del'ONF qui cette année n'est pas en avance(sècheresse,incendies de forêt,pluies d'automne);on devait avoir des houpiers de gros chênes qui sont encore debouts  en mars / avril il faut s'occuper du jardin ça va encore se bousculer au portillon  photo 1:usine à gateaux de Fontain 25660 avec son vrai sapin illuminé photo2:du houx des premiers plateaux du Jura magnfique  

toutafai j'ai fais venir des cylindres pistons de chez eux ( SAEGEN SPEZZI )



deux jours allemagne trois jours de transport en france.

et en dernier une chaine pour tester .

Bonsoir


Si l'an passé j'ouvrais le bal force est de constater que cette année je tarde à réagir. Il faut dire qu'on n'a pas fait beaucoup de bois et j'ai totalement oublié de vous en parler. Pourtant cette fois-ci l'accident n'est pas passé loin mais l'incident fut total! Navré pour la longueur du post mais j'ai des choses à dire.

Déjà j'ai ramené depuis le travail une palette de bois constitué par les déchets de la menuiserie. Épicéa, mélèze, chêne, au total environ 800kg. Le transport s'est fait avec mon Rapid S sans aucun problème à l'horizon.

Dans un second temps nous avons récupéré du chêne. Tout en gros billon à refendre. Ça été l'occasion de sortir notre fendeuse à essence. Navré pour le manque d'illustration je n'ai pas forcément pensé à archiver le truc. D'autant que vous verrez que l'histoire ne s'est pas vraiment passée comme prévue.


Après avoir mis en place la machine et commencer à fendre... ça n'allait pas. En fait le moteur, la pompe ainsi que le piston constitue un ensemble incroyablement efficace et puissant. Mais le chassis lui est bien trop faible. Jusqu'ici nous n'avions que peu employé cette machine et jamais sur d'aussi gros morceau.

Je mets ici une ancienne vidéo pour illustrer les faiblesses de construction.



Comme visible lorsque je change le sens du mouvement l'ensemble retenant le piston bouge beaucoup. Il faut comprendre que de base le piston peut être déplacé pour augmenter la longueur exploitable. En fait tout le bloc ne tient que sur une énorme tige mais l'ajustage laisse un jeu énorme. Alors après quelques bois le bilan était alarmant. Le din, la clavette étaient tordu. Le bloc retenant le piston avait creusé le din sur plusieurs millimètre... bref à moins de vouloir se prendre le piston dans les gencives il fallait changer de méthode. Dans les faits nous n'avons pas besoin d'un débatement plus grand donc on pourrait bloquer/souder le bloc sur le din, comme ça plus de problème.
Seulement pour ça il faut amener la fendeuse devant l'atelier et c'est là que les choses se sont corsées. En soit rien de compliqué la machine est prévue pour être remorquée.
Il faut que je vous explique comment une chance phénoménale m'a évité un séjour à l'hopital, si ce n'est pire.

Donc, pour se rendre devant l'atelier il faut passer par la route. Puis s'enfiler entre la maison et un jardin, le terrain est bien en pente tout du long. Amorcer un virage à droite avant de revenir à gauche pour s'enfiler entre la grange et la maison des voisins en offrant une bonne position pour ensuite reculer sur la place en gravier devant l'atelier. La manœuvre s'effectue avec l'Aebi AM75 car la visibilité et la manœuvrabilité est bien meilleur qu'en voiture.


Voilà un petit plan pour éclaircir les choses. En noir c'est la position avant accident, en vert la position final après accident.
Je suis au sommet de la pente, debout à coté de la machine. Je tiens les deux mancherons. Mon plan n'est pas tout à fait exact, j'étais du coté droit de la machine avec les mancherons tout à droite comme lors d'un virage très serré à gauche.
Le frein de la remorque est retiré et la machine tient sur le frein à main à cliquet.
Je serre la manette de débrayage et enclenche la marche arrière. Je ne sais pas si j'ai mal mis la vitesse ou si je ne l'ai pas mise, honnêtement je ne me souviens pas. Au moment ou j'ai retiré le frein à main tout en relachant la manette d'embrayage je suis parti en roue libre en marche arrière. J'ai eu beau essayé de recrocher le frein ou de forcer la marche arrière rien n'y a fait. J'ai accompagné la machine en courant en arrière jusqu'à entendre un gros boum. Ça s'est passé en quelques secondes alors je n'ai pas eu le temps de songer à sauter de coté ou autre.

Lors de cette marche arrière la fendeuse a atteint son angle de braquage maximal. La roue s'est plantée dans le sol et la fendeus a pivoté sur le crochet boule avant de taper dans la barrière du jardin. À 50cm près j'étais empalé par le mancheron droit de l'Aebi contre le mur de la maison. La fendeuse a fini sa course posée sur le coté avec une roue en l'air et l'essieu à la verticale, toujours accroché à la remorque. L'Aebi n'a touché aucun mur, rien. Tout du long mon père était à coté et si moi j'ai vécu l'évènement lui il l'a vu. Je ne sais pas lequel de nous deux a eu le plus peur au final.

Histoire de faire de l'humour je vais dire qu'on ne va pas se laisser abattre pour si peu donc on ne lache pas l'affaire. Après avoir séparé la fendeuse de l'Aebi on a redressé la machine en tirant dessus avec une corde. Malgré l'état du timon et du crochet on a pu directement crocher la fendeuse à l'Aebi. J'ai refait la manœuvre en prenant soin d'avoir la marche arrière bien dedans. C'est bon! La fendeuse est devant l'atelier

Les dégats de cette mésaventure sont... ridicule. Malgré la vitesse et la force accumulée tout a été dissipé lors du retournement de la fendeuse ainsi il n'y a presque rien eu. Le moteur a touché le mur du jardin. Le cache-culbuteur a été plié et toute l'huile a coulé mais c'est tout. Donc le cache a été redressé et le plein d'huile refait. Le plus gros du dégat a été en fait le timon de la fendeuse qui s'est fait tordre sur presque 90°.

Bon, ça c'était l'étape 1. Maintenant parlons des dégats lié à l'emploi de la fendeuse et du renforcement effectué sur l'engin.
J'avais prévenu que le post serait long...


Malgré un bras de levier ridicule l'ensemble à bien morflé. Sur la dernière photo c'est l'endroit où le bloc retenant le piston est rentré dans le din sur ~2 millimètres. Pas évident à photographier.


Comme il était impossible de retirer la tige la meule a été de sortie...


Ensuite il y a eu redressement, ajout de renforts, soudage de partout pour bien bloquer l'ensemble. Le vrai problème c'était le jeu dans l'ensemble alors en le supprimant et en soudant autant devant que derrière le piston tout devient très rigide.




Comme visible on est de retour dans le pré... Tout fonctionne à merveille. Comme relevé les fois précédentes cette machine est d'une puissance incroyable. Je n'ai qu'une courte vidéo malheureusement.




Bonne soirée

Timber !  

Caraxès, si j'avais été toi, j'aurais de suite fait un bulletin de loto !  Une chance comme celle-ci ne se représentera certainement pas. J'ai bien compris ta mésaventure :


Quand je vois des machines à mancherons sans sécurité "home-mort", là franchement... Il me semble vous avoir relaté il y a déjà un moment, l'intervention du parrain de mon fils (le pilote hélico Ariègeois) à son époque de sapeur pompier professionnel dans une très grande ville de france : ils avaient été obligé de dégoupiller la fraise de la motobineuse pour mettre le gars sur la civière, ils ont fait le tri plus tard ... !:   Bon, bref, l'essentiel est que tout se termine bien.

Si je peux me permettre deux réflexions :

1- Il n'est pas impossible que le groupe hydraulique de ta fendeuse soit taré beaucoup trop pêchu. Il doit y avoir sur le distributeur de commande (ou ailleurs), une soupape réglable de limitation de pression hydraulique. Ce serait peut être bien de t'y pencher dessus.
2- Visiblement, les soudures autour des plaques de renforts ne sont pas solides, comme "trop froides" , non liées au métal adjacent.  Je dirais que l'intensité du poste est trop basse et que la vitesse d'avancement du travail est trop rapide. Il ne faut pas hésiter à envoyer des ampères pour la pénétration et à balayer un peu pour à la fois maitriser la température et élargir le cordon (tout en gardant en respect le laitier formé si au MMA).
Ce ne sont pas des critiques (je ne me permettrais pas) mais des conseils sans prétention juste pour essayer de t'aider.

Une dernière chose : il me semble qu'il n'y a pas de garde de fin de corse entre la coin et la table :

Pour se faire couper net un pied même dans une chaussure de sécurité, il n'y a pas mieux !  

Petite question : tu es de quel coin (ville, canton...) ?

Bonsoir Pierre

Tu as tout à fait compris la situation. Pour cette histoire de poignée homme-mort on en avait parlé. C'est un indispensable sur bien des machines mais je reste sur ma position concernant un monoaxe avec sa remorque. À moins d'ingéniérer un système pratique c'est quand même une contrainte pour un gain sécuritaire relativement faible.
Dans le cas précis de mon incident ça n'aurait rien changé puisque d'une part j'étais en roue libre mais d'autre part je n'ai pas laché les mancherons. Je tenais le mancheron gauche tout en essayant de resserrer le frein à main avec la main droite. Peine perdu, la machine allant vers moi et le frein se serrant en tirant vers soi la manette. La meilleure option aurait été de forcer la marche arrière qui elle demande à pousser la manette.
Bien évidemment dans le feu de l'action on n'a pas le loisir de tenir une thèse sur les options à notre disposition sinon je pense que j'aurais tout simplement sauté de coté.

En vérité l'erreur dans tout ça est de ne pas avoir garder une seule sécurité. Je n'étais pas obligé de desserrer complètement le frein à main. Sur l'AM75 on peut sans problème manœuvrer avec les freins partiellement serré. C'est déjà ce que je fais pour certaines manœuvres précise, ça supprime l'inertie. Ça n'aurait peut être pas empéché le mouvement mais ça aurait donné beaucoup plus de temps pour réagir.

Pierre74 a écrit:

1- Il n'est pas impossible que le groupe hydraulique de ta fendeuse soit taré beaucoup trop pêchu. Il doit y avoir sur le distributeur de commande (ou ailleurs), une soupape réglable de limitation de pression hydraulique. Ce serait peut être bien de t'y pencher dessus.

Alors je n'y connais rien en hydraulique mais la pompe était défectueuse à la base. Mon père l'avait autopsié pour la réparer: https://carrupt.ch/Fendeuse-a-bois

Pierre74 a écrit:

2- Visiblement, les soudures autour des plaques de renforts ne sont pas solides, comme "trop froides" , non liées au métal adjacent.  Je dirais que l'intensité du poste est trop basse et que la vitesse d'avancement du travail est trop rapide. Il ne faut pas hésiter à envoyer des ampères pour la pénétration et à balayer un peu pour à la fois maitriser la température et élargir le cordon (tout en gardant en respect le laitier formé si au MMA).
Ce ne sont pas des critiques (je ne me permettrais pas) mais des conseils sans prétention juste pour essayer de t'aider.

J'ai du faire deux ou trois fois de la soudure dans ma vie  alors ce n'est pas mon œuvre qui est visible. Celà-dit rien n'a bougé à l'utilisation alors on verra dans le temps.

Pierre74 a écrit:

Une dernière chose : il me semble qu'il n'y a pas de garde de fin de corse entre la coin et la table :

Pour se faire couper net un pied même dans une chaussure de sécurité, il n'y a pas mieux !

Je n'avais même pas songé à ça. Il faut dire que c'est la première fois qu'on l'emploie à la verticale. Quand elle est en position horizontal le danger serait pour les mains mais elles sont sur les manettes de commande. Je note

Et je suis du Valais

Bonne soirée

Salut Caraxès,

Tout bien compris.

En principe, le limiteur de pression est sur le distributeur, jamais sur la pompe (sauf si une plaque à suivre y a été rajoutée). Si ton père a très bien compris le principe de cette pompe à "deux etages" (disons deux vitesses car deux débits "automatiques"), il doit certainement être capable d'y mettre un manometre et de voir ce qui en sort. Question résistance, une pompe à engrenage à corps aluminium de ce type travaille d'une façon standard à 180/200 bar maxi. Au dessus, elle risque de lâcher.  Pour la résistance de la fendeuse, tout dépend du diamètre du piston de verin (en principe plus gros que la tige) qui reçoit ces 180 bars, donc de la force de poussée.  
Par exemple : avec un piston de 65mm de diamètre et une pression hydraulique de 180 bar, la force de poussée est de 6 tonnes. Avec un piston de 70 mm : 7 tonnes. Avec un piston de 100 mm : 14 tonnes... Mais ça, tu vous savoir.

Voilà.

Surtout, soit prudent...

(PS : loin de SION ?)

Bonjour tout le monde.

Bien vu Pierre pour les soudures.pour ce qui est de la soudure c'est un métier? à moins que ce soit inné?

Quant-on veut faire de l'artisanal on joue pas avec le feu.La c'est pas soudé c'est à la limite du collage ( je me demande comment çà tient )

Ce n'est pas un reproche mais une constatation et pour le bien de la personne

Une idée si on veut fendre que du moins de 50 cm a vie ;je ferai une table pour ne pas travailler à quatre pattes , bonjour le dos .

Pour les fendeuses poser à même le sol c'est fait pour du un mètre à mon avis ;Travail debout c'est plus confortable non

C'est très bien de vouloir faire son bois. 

Allez en attendant A PLUCHE MICHE MUCHE LA YAUTE

Bonjour,
Je suis bien content que ta mésaventure se termine par plus de peur que de mal
On a encore une fois un exemple sur la dangerosité d'un motoculteur attelé à une remorque chargée ou dans ton cas une fendeuse surTERRAIN EN PENTE.ca arrive même a des gars comme toi expérimenté et en pleine posséssion de leurs moyens physique
Je partage ton avis sur la problématique de l'homme mort;l'arrêt du moteur n'aurait rien changé;je n'ai que des Staubs à embrayage centrifuge;j'ai déja essayé de monter un homme mort;en labour voir en fraisage on a besoin de lâcher parfois un des bras du guidon donc pas mal d'arrêts moteur intempestifs;heureusement avec l'inertie si on appuie tout de suite il repart tout seul je préfère le bon bouton poussoir au guidon qui demande une action délibérée de l'opérateur
OK avec Pierre dans son exemple d'accident avec motobineuse le gars n'aurait pas eu le temps d'actionner un bouton poussoir
Dans mon cas pas de motocs attelé si pente et pourtant j'ai des PP4B avec frein sur roue+ frein à câble sur remorque
Sur les tracteurs la règlementation impose 2 systèmes de freinage différents généralement un hydraulique à la pédale + un frein à main par câble;sur mon ZETOR il arrive que la vitesse engagée décroche si rapport trop court;je l'arrête au frein au pied ,débraye et rengage la vitesse
En débardage pour les passages délicats je marchais derrière le Renault 51 du copain et serrait un peu le frein à manivelle à l'arriè de la remorque;ce que notre ami à suggéré"j'aurais pas dû dessérer complètement
OK avec Pierre sur qualité des soudures"pas assez d'ampérage métal d'apport de la baguette pal mélangé
Si l'ami "Charriers nous lit prudence car il débarde son bois avec l'Agria attelé;voici ce qu'il faut pour le bois 2,5 stères maxi

Rebonjour,
Jai oublier un truc pour ta fendeuse
Si pas de limiteurs de couple tu rajoutes un mano visible dans le circuit avec une zone rouge à ne pas dépasser ou mieux une soupape tarée qui va limiter la casse
Pour un doué comme toi ça ne doit pas poser de problème
Comme toi j'ai du mal à voir le mélange du métal d'apport malgré un bon masque anti arc
Comme dit notre ami ci dessus c'est un métier;avec le Mig c'est parait il plus facile
Mon copain ancien métalier soude toujours avec un tablier cuir"rayonnement néfaste sur notre service 3 pièces!!
Vrai ou faux!!

Bonjour,

Oui, la soudure c'est comme tout : c'est un métier mais qui peut très facilement s'apprendre par un bricoleur et certains y sont même très bons, que ce soit au MMA, au MIG, TIG, chalumeau... Je ne parle pas des travaux spéciaux comme dans le nucléaire avec des matériaux hors cadre ou du genre... Avec un gars qui a de l'expérience et un "élève" volontaire qui comprend vite, flanqué de mains qui n'ont pas que des pouces gauches, on arrive assez facilement à des choses très bien en mécano soudure. Et la progression peut aller très vite. La soudure MIG est certes plus facile, il n'y a pas à gérer le laitier qui demande une bonne expérience en position inusuelle (soudure au plafond, en descendant...). Qui n'essaie rien n'aura jamais rien...
La soudure électrique est aussi un concentré principalement de rayons ultraviolets : un coup de soleil puissance xxx ! Prendre un coup d'arc dans les yeux = brûlure de la cornée. La douleur est semblable à du sable dans les yeux donnant des maux de tête jours et nuits à se la taper contre les murs (la tête) ! Pour la peau, brûlure également à différents degrés suivant l'exposition. Être "ultraviolé" n'est pas vraiment top ! Le tablier en cuir protège principalement du feu, un bleu de travail crame !

Pour la sécurité "home mort", c'est un système qu'il faut tenir constamment pour que l'engin fonctionne. Si on lâche, ça coupe. Sur les bateaux, les jet-ski..., nous avons un cordon spiral autour du poignet. En cas de chute ou d'éloignement trop important, le cordon "arrache" la goupille du contacteur et ça coupe. En ce moment, je révise un petit moteur hors-bord 9.9CV. Le gars me demandait de supprimer ce contacteur de sécurité. Je lui ai donné le choix : je fais ce qu'il y a à faire en laissant le contacteur ou tu vas voir quelqu'un d'autre.  Je m'arrêterai là pour ce sujet, chacun jauge et juge de lui-même le pour et le contre.

Sur ce, soyez prudents !

Bonsoir,
En 76 on avait déja ce coupe circuit au poignée sur nos zodiacs militaires;si le gars tombait à l'eau ça lui évitait d'être blessé  par l'hélice;idem sur les  tondeuses  en tout genre;il faut impérativement arrêter la lame(sécurité de siège ouhomme mort);Staub avait réussi à prévoir une sécurité de marche arrière avec la fraise mais uniquement sur ces modèles PPX plus récents;avec les embrayages centrifuges méfiance!!pour cette raison j'ai un faible pour les PP5/6 qui une boite plus précise grâce aux butées
Sur nos gros motocs puissants on tire toujours un peu sur le guidon pour bordayer ou tourner très court en bout de rang;avec une remorque tout est dans les freins du motoc et de la remorque;ici un de mes PP4 avec freins sur roue


Dans l'urgence pas évident d'actionner le frein sur roue ou celui de la remorque
Notre ami  a eu de la chanceet j'en suis content la baraka ça existe et il en faut ;)là c'est l'ancien militaire qui parle;les soldats de 20ans réagissaient vite face à l'imprévu;nous autres séniors il faut y aller mais avec le calme des vieilles troupes
Notre ami n'en a pas fini avec les pentes avec toutes ces belles montagnes qui l'entoure

Oui, les Alpes suisse sont belles. C'est le prolongement de nos Alpes française, mais... en suisse ! Je déborde un peu du sujet, mais bon : n'y aurait-il pas à SION, jolie petite ville valaisanne, un dancing nommée "la Buée"... ?

Bonjour la clique,

Vouaïe-vouaïe. Bravo Jacky, je vois que tu as l'esprit vif ... !

On peut dire que le centre du vieux Sion , avec le bar de cette discothèque, est rempli de ferveur.....!!!

Excellent, le contrepet... ! (si je peux me permettre, pour rester dans le "secteur anatomique" visé...)

Je vois que l'ambiance est au beau fixe sur TMA !