- DanyH a écrit:
- Bonjour a vous , les Normands !!
rassurez vous , même lorsque l'on est mauvais en mécanique ( je sais de quoi je parle !! lol ) ici , on nous aide bien !!
DanyH
Me voici de retour sur le forum pour un premier état des lieux des avancées, jusuq'à présent mon frère et moi avons rpis le parti de nous retrouver avec les mains noirs le dimancher de chaque WE :
Dimanche N°1 : vidange, désossage, nettoyage grossier de l'engin
-> Transmission quasiment démontée (tout au moins sur les points qui nécessitent les réparations)
-> Joint SPI et son roulement en sortie de PdF du bas tous les deux H.S.
-> Joint SPI situé en sortie du tunnel de transmission (derrière la cloche d'embrayage) HS
-> Ferodo de la sangle de frein rongée jusqu'à l'os et usée de travers
-> Cloche embrayage (au droit de l'épaulement/ portée du du joint précédement cité) fendu en face de la rainure de clavette.
-> 5 des 6 languettes rabattables de la rondelle enchassée sur la roue bronze cassées (plus rien n'empeche les vis de fixation de la roue bronze de se desserrer)
-> Rabat de la rondelle de l'écrou à encoche "planqué" dans la roue en bronze "mattraquer / rabattu de travers"
-> Fils de bougie (Fil HT) rongé (un jour il a du vouloir faire des bisous d'un peu trop près au carter moteur)
-> Des preuves que l'engin à déjà été repeint (de manière assez soigné)
Dimanche n°2 : démontage du moteur (ce dernier laissait transpirer un joint de culasse HS vu le voile d'huile au droit d'une des VIS de culasse)
-> Joint de culasse rongé au droit des sièges de soupapes
-> Siège de culasse, tête de piston et sous face de culasse tapisser d'une couche de calamine très aggloméré (ep env. 1mm par endroit)
-> Bougie enduite de suie (à priori mauvaise combustion)
-> Joint SPI HS (là pour le coup de c'est de ma faute car mon montage d'atelier pour débloqué le montage conique du porte-mors d'embrayage avec des vis un peu trop longue)
-> Je sais pas pourquoi mais dans la frénésie du démontage j'ai également démonté le flasque moteur situé derrière l'embrayage (alors que pour le coup y avait pas besoin
dimanche n°3 : démontage du moteur second épisode , remontage de la transmission
-> Démontage du piston (un segment se casse au passage)
-> Présence d'une rayure que l'on peut tout juste sentir sous l'ongle (je pense pas que ce soit très grave) mais le montre a deux trois personne pour qu'il me donne leur avis
-> changement de 3 roulements dans la transmission (certains avec un jeu flagrant)
-> Nettoyage général / dégraissage
dimanche n°4 : remontage du moteur
-> remontage du joint de culasse
-> serrage de la culasse à la clé dynamomométrohydraulique (un saut d'eau de 14 litres d'eau sur une clé à douille rallongée avec un tu de 50 cm ca doit faire les 7 N.m requis :-)
-> 3 bonnes heures à chercher ces "foutus" coup de poinçons (dito manuel staub) sur les roues dentées du vilebrequin et l'arbre à came. BOn en fait entre temps chez Staub ils se sont dit que chanfreiner plus fort certaines dents ca fonctionnait aussi... certes faut juste le savoir !!! :-) )
-> premier essai de redémarrage (sans la cloche d'embrayage que nous avons enlever volontairement car il nous manque encore une pièce pour pouvoir fermer la transmission). Aïe !!!! voulant avoir du lest pour que le moteur ne brinqueballe pas dans tous les sens on a réacouplé la transmission auparavant. Je n'aurais pas cru que les mors de l'embrayage centrifuge irai s'écarter (s'embrayer) à bas régime... Bref boum ba boum... le moteur tappe sec (l'embrayage ayant voulu faire sa prise sur la sangle de frein)
CONCLUSION : il est tard et commence à faire des grosses grosse bétises !!! :-(
dimanche n°5 : réglage du moteur (enfin ca c'était sur le papier)
-> En Démontant le robinet de réservoir fuyard, on s'aperçoit que la crépine d'entrée est HS... Mince le carbu a fait connaissance du fond de réservoir et donc sans doute de vieux vestiges des années 70!
-> Démontage, carbu / gicleur :
* crépine de carbu plein de sable et de substance visquese translucide !
* passage du corps de carbu et des acessoires en laiton dans un bain à remou (bouilli) parfum citron / rincage à l'eau chaude et enfin soin au vinaigre blanc ... Ouah on dirait un carburateur neuf.
-> Remontage
-> Quelques tentatives de démarrage, quelques plouf plouf hasardeux puis très rapidement plus rien du tout et une facheuse impression que le motoculteur s'est transformé en une montagne de melasse quand on tente de le lancer.
-> Verdict : clavette volant magnétique HS. On en profite pour faire un tour d'horizon visuel sur le rupteur... Le compartiment du rupteur est très poisseus / huilleux sans pour autant que l'on voit "d'infiltration d'huile moteur à proprement parler". Donc degraissage et nettoyage au sopalin.
-> Pas de clavette de rechange donc ce sera un dimanche très court !. J'en profite pour me pencher sur le sujet calbe de commande d'accélérateur et frein (les cables ont tendances à rester coincés dans leur gaine... faudra sans doute regarder ca de plus près un jour..)
dimanche n°6 : Tentative de démarrage (second épisode)
-> Clavette à la main, cale de réglage pour les 0,4mm du rupteur en poche, plein d'espoir dans la tête
-> résultat très décevant !!!!!