sulfateuse (fabrication)

Re

merci pour ta réponse si rapide

si tu a le temps et que cela ne te dérenge pas, pouret-tu faire une petit photo de lensemble??
je vois mon pére y trourné autoure de puis 2 jour alors je pense qu'une petite remise en état va sinproviser d'ici peut   

merci beaucoup

j,essaie de te faire des photos d'ici fin de semaine,j'en connais une dans les orties chez un collegue,j'irais voir si il y a la pompe

j'ai une pompe 3piston àmonteravec un w110

Bonjour

si tu pouver mettre 2 ou 3 photos sa serait niquel mmerci a toi !!

bonjour je suis nouveaux alors pas de photos pour le moment la semaine prochaine normalement je vais essayer cela. il s' agit d'une pompe 3piston .donc a la semaine prochaine a plus

bonsoir à tous
Sans vouloir m'immiscer dans votre discutions intéressante , il n'y a pas que les traitements liquides , j'ai été  constructeur des poudreuses et broyeurs Rotabel à partir de 94 lors de l’arrêt de mr bel---- robert qui prenait sa retraite  et ce jusqu’à une grave maladie qui m’arrêta  en 98 mais également  la petite entreprise de 2 personnes et 1 apprenti aussi .
l'appareil consistait en une cuve tournante qui distribuait de la poudre ( de la bouilli bordelaise par exemple et du souffre au choix ou les deux )
évidement réglable par un bandeau perforé et sur la cuve des perçages aussi le fait de déplacer le bandeau cela diminuer ou augmenter les perçages mais également les débits ,puis il suffisait aussi d'augmenter la vitesse de rotation (ou la diminuer ) pour faire varier le debit  de sortie , et la turbine envoyait cette poudre sur ou sous les feuilles de préférence ........
notez que cela devait être fait tôt le matin avec la rosée . la poudre ainsi restait accroché sur le dessous de la feuille , le dessous étant plus apte à absorber les produits ......
ps : le nom vient de rotatif (puisque la cuve tournait ) et des trois premières lettre du nom de l'inventeur . de mon coté j'ai fortement alléger la turbine et ai monté l'ensemble en hydraulique , plutôt qu'un entrainement mécanique. il y avait donc un moteur turbine  et un pour la rotation cuve .


puis j'ai eu l'idée d'un appareil pour l’engrais organique , le voila.



et enfin en 96 ma petite entreprise obtient un premier prix à un concours d’ingéniosité sur un broyeur hors sol , avec reverse automatique du pick-up .
si vous êtes intéressé je peut en parler .

cordialement
mes excuses pour mon intrusion .
Michel

michel3481 a écrit:

et enfin en 96 ma petite entreprise obtient un premier prix à un concours d’ingéniosité sur un broyeur hors sol , avec reverse automatique du pick-up .
si vous êtes intéressé je peut en parler .

Bien sur que tu peux nous en parler  

bonsoir
un post avec pleins de photos serait la bienvenue
j en apprends tous les jours:applaudissemen 

nikro_magnon a écrit:

Bien sur que tu peux nous en parler  

re bonsoir
en espérant que je ne pollue pas le sujet initial :
voila la bête

la suite dans le message suivant

re
principe de fonctionnement :
le rotor est entrainé mécaniquement par la prise de force du tracteur , de par les courroies et le renvoie d'angle multiplicateur 4.5 à 1 , le rotor tournait a 2450 tr /min soit une vitesse linéaire en bout de chaque marteau était de  52m/s .
le tube central du rotor faisait  125 mm de diametre , les supports  des marteaux qui était soudés sur le tube c’était des M035 de chez poncial  les marteaux des M3 même fabricant .
l'ameneur ( ou pick up ) lui est devant le rotor mais plus bas il a des sortes de crochet qui montent les sarments de sur le sol vers la chambre de broyage  et lui est entrainé par un moteur hydraulique , pourquoi :
je me suis aperçu  qu'avec un entrainement mécanique par courroie et réducteur de cet ameneur  , si la quantité de sarments est trop importante et/ou  que la vitesse  du tracteur est trop rapide il y a trop de sarments qui montent dans la chambre de broyage et il y a engorgement , ralentissement du rotor et même blocage .
donc mon idée c’était un moteur hydraulique avec un pressostat , (pression atteinte = signal ) un relais avec temporisation et un distributeur inverseur .
mais la mise au point fut assez longue ., et j'ai trouvé un relais qui ne prenait qu'un signal a la fois tant  que le temps de la tempo était en action , puis j'ai changé l'emplacement du pressostat . donc il faut comprendre que lors d'une montée en pression le pressostat inverse (via relais etc ) le sens du moteur qui empêche toute montée de sarments
fonctionnement
avec ce système et du fait que le pressostat actionne aussi un voyant , près du chauffeur , ce dernier sait que si la reverse s'actionne plusieurs fois dans le rang c'est qu'il va un peu trop vite , il ralenti jusqu’à que la voyant s’allume plus .
résultat : plus jamais de blocage , vitesse de broyage largement amélioré .
un petit dessin (ébauche ) d'un proto en coupe , celui ci devait être avec un système de ventilation incorporé non visible sur  ce dessin ( un rotor fait beaucoup de vent avec ses marteaux !!! mais il n'y a pas d'entrée d'air ?? ) alors je voulais faire un broyeur avec des entrées d'air centrale au niveau de l'axe rotor . mais il n'a pas existé .
dommage

cordialement
Michel

Salut a tous

tinquéte michel, bien au contrére parle nous en un peu plus! surtout la petit tonne a lisier !!!
ces super   

cordialement  

bonjour à tous
bonjour Adrien .
le principe est simple , que se soit pour la poudreuse ou l’épandeur d'engrais organique , c'est la même chose .
sur les deux photos on voit un bandeau de tôle en forme de U inversé ,couleur noire tout autour de la cuve.
ce bandeau ne doit pas toucher la cuve quand elle tourne.
sous ce bandeau une tôle légèrement moins large fait le tour de la cuve , et les deux bouts de cette tôle sont retournés à 90 °,ces deux bouts sont percés au milieu et  un boulon maintien les deux bouts de cette tôle.
ce boulon desserré la tôle peut se déplacer , serré la tôle ne se déplace plus .
sur la cuve des perçages de 30 mm sont fait tout les 20 cm .
mais sur la tôle aussi , les mêmes trous à la même distance .
donc si c'est bien fait, on peut avoir en pleine ouverture quelques 18 trous de 30mm par tour de cuve (suivant diametre de cuve ), absolument aucun trou si on déplace la tôle par rapport à la cuve de 30mm.
ne pas oublier que l'on charge à un endroit et qu'ensuite on se déplace pour aller vers la vigne , donc trous fermé lors du déplacement sinon on fait comme le petit poucet  .
que se soit la poudreuse ou l’épandeur il y a un régulateur de debit , donc une vitesse réglable de la cuve , parce que arrivé à la vigne , ( on lève une trappe visible sur les photos )  il faut trouver les deux bouts de la tôle pour régler le debit de descente du souffre (autres )  ou de l’engrais donc vitesse très lente (il y a un repère sur la cuve là ou se trouve les deux bouts de tôle ).
si vous me demandez de combien on règle:  réponse au pif . il faut faire un essai sur 20 m et à une certaine vitesse maintenu  par exemple .

pour la poudreuse :
la poudre tombe  dans un tube rectangulaire que la sortie de la turbine souffle vers le bas et sous les rangs de vigne .
j'avais plusieurs clients qui mélangeaient souffre et bouilli bordelaise en poudre et se " servaient " de la rosée très matinale pour que "s'accroche" les poudres sous les feuilles .

pour l’épandeur :
cela à été la seule remorque , car jetait de l’Hérault à l’époque et que les trois producteurs d'engrais organiques étaient du Tarn , et ils avaient tous leurs propres constructeurs d’épandeurs, dans le tarn .
je louais cet épandeur et un jour , un des trois m'acheta cet épandeur , je l'ai revu une dizaine d'année plus tard en 2006 , bien rouillé .
principe de fonctionnement :
au travail , un vérin descendait les 4 pointes carrelées  avant et également les pointes de herse arrière . l’engrais tombait entre les deux  , l'engrais était enfoui sous une faible épaisseur de terre .
après l’arrêt de mon entreprise , j'ai corrigé le défaut majeur de ces cuves ,même à l’arrêt j'ai toujours chercher à améliorer les défauts (on ne sait jamais ) .
idem pour le broyeur .
j'en parlerai un peu plus tard .
défaut majeur de l'une et de l'autre : cuve pleine le debit est plus important que à moitié vide , pour la simple raison qu'il y a plus de trou ouvert avec la poudre (autre ) qui ne demande qu'a passer .
amicalement
Michel

bonjour je suis un peu en retard mais me voila quelques photos de la bète                                                     elle est complète avec son filtre ,le limiteur de pression en haut .elle fonctionnait encore il y a 5ans.mais fuiyait a la culasse