Moteur japy avant et après la restauration rapide.

francois,

Alors forer juste un trou dans la bielle et c'est tout. Ou peut-être avec un petite tuyau.

Moi je suis aussi interesse dans le produit.

La peinture Japy de plus de cent ans est particulièrement solide. Là j'ai d'abords nettoyé au gaz oil, puis avec mon nettoyant mécanique habituel, qui d'habitude dissout la peinture , mais pas là.

François,

Je pense que les numéros ont rein avoir avec la date. Je suis entrain de restaurer un moteur japy qui porte le numéro 691, normalement il ai plus vieux que le votre et il porte les numéros 9 -1 – 9. Alors il doit être de 1909 ? Je ne pense pas. Sur mon moteur dans toute les pièce je trouve le numéro 9 ou des autre, j’ai déjà trouvé 19 et 23.

Alors, ce soir, je voulais déglacer mon cylindre. Pour cela , je sors mon bel honnoir (je ne suis pas sûr de l'orthographe, peut être honoir , ou aunnoir, ou encore haut noir, ou eau de couleur) hé bien Honnoir, Ho désespoir, après deux tours de perceuse, le raccord caoutchouc casse, et voilà, pas de déglaçage pour ce soir.



Pour ce qui est des chiffres, sur chaque pièce, il y a un chiffre, et sur certaines, le numéro de série du moteur. Donc, je ne sais pas à quoi correspond ceux de la photo.

Peut être après restaurer beaucoup de moteur japy en va voir un relation?

François,

La soupape est de retour avec la poste.
J’ai mis aussi la documentation et un tube en inox pour faire un tube incandescente.

Bonjour. Aujourd'hui, séparation de la bielle et du volant, méthode Didier B, merci Didier. Mais sous la presse, j'ai mis le milieu du volant en appui, et j'ai appuyé sur le bout du vilebrequin, et c'est venu. Ensuite, j'ai retiré le pignon et ses deux bagues, qui avaient été rajoutés pour entrainer une magnéto.



Puis nettoyage du volant, et le plus fastidieux, dérouiller la jante. Ce soir, équerrage et rodage de la double soupape d'admission.

bonsoir françois
merci pour ce reportage, tu sais nous tenir en haleine
a bientôt pour la suite
hervé

Aujourd'hui, nettoyage du deuxième volant, des petites pièces et de la boulonnerie. Au cours du démontage de la platine portant les bras et les masselottes du régulateur : rupture du plateau au niveau des trous de vis. C'est en fonte; pas facile à souder!



maintenant, il se pose la question pour le remontage : Charriot ou pas ? et si charriot, 2 roues ou 4 ? En bois ou en fer ? Nous nous posons vraiment des questions existentielles !

Bonsoir,

C'est vrai qu'il y a toujours des questions existentielles, pour le chariot je me permet de donner mon avis: 4 roues et du vieux chêne, le tout sans verni. Pour que ça reste dans l'esprit de ce moteur qui a un bel état d'origine.

A+

A mon avis un platteau avec des roues invisible ou demontable. Le moteur est un vrai "fixe", donc il doit avoir le cachet "fixe".

Aujourd'hui, journée mécanique chez "mon copain Jean Louis". Soudure du plateau du régulateur, et perçage d'un trou supplémentaire pour cosolider l'ensemble


Puis fabrication d'un tube en inox pour l'allumage par ignition, et pose d'un bouchon sur le trou de la bougie.


Et construction de la cheminée de chauffage du dit tube. C'est ce tube chauffé au rouge, et ouvert côté culasse, qui provoquera l'explosion après la compression.

Bien fait....... mais le cheminé .......il faut faire mieux.

super, François ! ton plateau de régulation était pas cassé depuis hier ! jolie réparation ! je vois que Jean Louis a vraiment tout ce qu'il faut ! ça doit être pratique de bricoler chez lui !
continue ce roman feuilleton, on vit au fil de la restau !
à+, marc

Johnny a raison, qu'est ce que c'est que cette cheminée ....
J'ai connu mieux de ta part.

Laurent

Ne m'engueulez pas les amis, ce n'est qu'un prototype, on va faire mieux, c'est promis. C'était juste pour voir comment faire. Aujourd'hui, joint de culasse en klingérite, mais, chut!!, c'est interdit, because l'amiante !! Demain, voyage au delà de Poitier pour chercher un pneu d'occasion pour remplacer celui qui a éclaté sur ce p....n de Valpadana. Juste quand le bois est fini. Pour le charriot, ce sera : cadre en bois sur 4 roues fer.
Pour Marc: oui c'est un vrai plaisir de bricoler avec Jean Louis, ou avec un autre ami. Ça fait partie des plaisirs formidables qu'engendrent notre passion commune.

Voici une photo du "coin de julasse", en place. A côté, c'est le pot d'échappement, mais je crois que je vais en chercher un plus petit.


Aujourd'hui, menuiserie, débitage, rabotage, et tennonage du cadre en bois. Pour les mortaises, ma machine n'est pas suffisante, demain j'irais chez un ami mieux équipé.



Oui, je sais, c'est un peu le bordel dans mon atelier, pais c'est comme ça que je m'y sens bien.

Dommage que tu sois aussi loin tonton, sinon je te les faisais tes mortaises

Laurent

Suite de la construction du châssis bois. Mortaises chez le cousin Gilles, puis emboitage, chanfreinage, perçage, ferraillage et enfin, peinturage à l'huile de lin.

Beau travail

super francois !!!

Salut François

Très très beau travail, la mécanique, la menuiserie, rien ne te fait peur et pour ce qui est de ton atelier je le trouve formidable, on y mettrait presque un plumard pour dormir au milieu de ces merveilles.
Est-ce que tu pourras mettre une vidéo de ton moteur fini et tounant sur you tube ou ailleurs, ce serait sympa.
A+
Thierry

Train arrière terminé, à venir, le train avant pivotant. (pas tout de suite, petit voyage en vue.)

La retraite a beaucoup des avantages…

Oui, Bart, c'est vrai!! Je te la recommande. Ton séjour au ski s'est bien passé? J'aurai besoin de votre aide lorsque que j'en serai rendu au démarrage, bientôt, j'espère.