Bonjour à tous.
Voici quelques clichés de la venue du printemps sur les premiers contreforts des Pyrénées, entre la fin mars et la fin avril
Nous sommes à Lannes, quartier principal de la commune de Montastruc-de-Salies et maintenant bien connu de notre Premier Ministre.
Avec un peu de distance.
Les rochers de Pène Blanque vus depuis la route montant au col de Larrieu.
Plus loin, juste au dessus du col de l’Aguchon, voici un confortable « lieu de vie » des chasseurs de palombe.
Juste en face et de l’autre côté du col, la montée au sommet de Ruérole est tellement raide qu’un train, même à crémaillère, serait le bienvenu...
Ici se trouve le deuxième camp de base des mêmes chasseurs.
Juste avant de redescendre au col, une vue sur la première palombière.
Quelques jours plus tard, retour dans le même secteur mais en partant du village d’Estadens.
Le Pic de Cagire vient de prendre une petite couche de neige.
Depuis la palombière, une vue sur Montastruc-de Salies.
Notre itinéraire nous conduit ensuite, en hors sentier, au sommet du Thouas.
La vue sur le sommet de Cornudère est intéressante.
Pendant que nous montions péniblement, le Cagire a perdu sa couche de neige.
Autour de nous, des massifs de scilles à fleurs blanches.
Avant de redescendre, une vue sur la crête au dessus d’Arbas, du col de la Croix de Guéret à droite jusqu’au Tuc aux Pentières à gauche.
Quelques jours de plus et les couleurs du printemps sont mieux installées au dessus de Urau.
Cette sortie de mi-avril va nous amener sur les rochers de Pène-Blanque.
Depuis Arbas, nous empruntons le chemin du facteur qui nous monte à la Baderque.
Nous sommes jute en face du Planot de Loubat, piste d’envol des parapentes.
Un long cheminement nous amène au col de Couenque : là, il faut prendre à droite et monter vers les rochers.
Même si c’est impressionnant, ce n’est pas vraiment dangereux. Il faut juste avoir le pied sûr...
Au loin, le hameau de La Baderque.
Sous nos pieds et à mi-falaise se trouve un des orifices donnant accès à l’immense réseau souterrain dit « Félix Trombe ».
Pour plus d’informations : https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9seau_F%C3%A9lix_Trombe
Nous sommes maintenant dans l’Ariège, dans le beau village de Galey.
De là, nous montons vers le sommet de Cornudère.
Le cheminement en forêt est long avant d’avoir les premiers points de vue sur la chaîne.
Il faut rejoindre le fil de crête au dessus du col de la Croix de Guéret, virer à gauche et monter durement, surtout vers la fin.
Au sortir de la forêt, voici des gentianes printanières.
Le sommet est à deux pas.
La vue y est immense !
Vers le nord et à nos pieds, le hameau de La Baderque
Un peu plus vers l’ouest, les rochers de Pène Blanque.
Vers le sud, la haute chaîne du Couserans en trois clichés : du Mont Valier à la Mail de Bulard, de la Mail de Bulard au Pic de Maubermé, du Pic de Mubermé au Pic de Crabère avec le Pic de la Calabasse en avant-plan à droite
Nous continuons un peu la crête jusqu’au Tuc de Tucol droit devant.
Vers l’ouest, le Pic de Cagire au centre, le couple Pic Saillant-Pic du Gar à gauche, le (petit) Pic de Paloumère à droite et le Pic de Midi de Bigorre dans le lointain.
Les rochers de Pène Blanque sont maintenant mieux orientés.
Avant de descendre, un gros plan sur la chaîne entre le Pic de Barlonguère et la Mail de Bulard.
Pour finir, deux vues du village.
Quelques jours plus tard, toujours dans la Bellongue, voici le village de St-Lary.
Ce jour là, le ciel est particulièrement nuageux.
Depuis le petit sommet de Pujatech, le col de Morères coincé entre le Pic de Sérau et le Pic du Mail des Morères.
Vers le sud, la cuvette des Trémailles dominée par le Pic de Paumaude et le Pic de la Calabasse.
Pour terminer, une petite balade au dessus de plateau de Soulan avec un temps particulièrement incertain et même franchement pluvieux en début de matinée.
Les vues ne sont donc pas extraordinaires mais on voit que les teintes vertes sont maintenant bien installées.
A bientôt.