Bonjour
Avant tout, une petite présentation :
Dans les années 50, mon père a acheté un 412 suite à la mort de son cheval.
Je me souviens très bien de cet engin pour l'avoir utilisé lorsque j'étais ado ( le démarrage à la manivelle était "sportif" et nécessitait parfois l'utilisation de plusieurs mèches).
En 66, ce 412 a nécessité de grosses réparations. J'avais même accompagné mon père pour aller chercher les pièces à Villefranche (en 4L 3 vitesses). La facture seulement de Patissier était de 384.44 francs.
Suite à cette grosse panne (et aussi parce que mon père était fatigué de "courir" derrière le 412), il à acheté, probablement en 67, un 512, engin qui existe toujours et que j'ai l'intention de remettre en service.
je n'ai pas retrouvé chez mes parents les docs techniques de cet appareil, mais pas mal d'heures sur le net m'ont permis de trouver PRESQUE toutes les réponses. Un test rapide a montré qu'il est en état de marche, mais tous les fluides sont certainement anciens et la première chose à faire est de tout purger)
En premier, présentation (il a besoin d'une grande toilette...):
Je ne connait pas sa date de fabrication : numéro de série : 080636 et moteur de 62.
Pour la recherche d'informations, ce 512 est équipé d'un relevage hydraulique (on voit la pompe à l'avant sur la deuxième photo) et je n'ai pas trouvé quelle type d'huile est utilisée dans ce relevage.
Pour le SACHS 600, la doc indique SAE 20 l'hiver et SAE 40 l'été. Est-il possible d'utiliser une huile multigrade moderne 20W40 ?
Les outils sont toujours là : brabant quart de tour, canadienne 9 dents, barre de coupe entre roues (je ne l'ai pas encore exhumée donc je ne sait pas exactement dans quelle état elle est).
ces 2 engins servaient également a tracter d'autres outils à traction animale d'origine.
J'ai retrouvé le "catalogue des pièces détachées du 409" édité en 46, le "catalogue des pièces détachées du 409 et 411" édité en 54, un bleu de 55 "montage du pont avec galets 409-411-511" et un bleu "montage de la faucheuse entre roues 518-511-512"
Pour une première, j'en reste là