Les randonnées de l'été 2012

Bonjour à tous.

Voici la première randonnée de cet été qui vient juste de commencer.
Nous allons essayer de parcourir la crête, peu connue et peu parcourue, qui relie la Serre de Bège, au dessus d’Auzat et de Saleix, au Mont-Ceint. En partant du Port de Lers, il est même possible de faire une belle boucle, sans aucun aller-retour.
Par contre, ceci est inhabituel, la balade démarre par une longue descente qui nous fait perdre pratiquement 500 m d’altitude.
Le sentier, totalement en sous-bois, descend donc la vallée vers Vicdessos, sur le versant droit. Peu de points de vue, sinon sur le versant opposé vers le massif du Pic des Trois-Seigneurs.



On aperçoit la cascade d’Arbu et le Pic en arrière-plan.





Il y a plus de 2 heures que nous marchons et enfin, après une petite remontée, nous prenons pied sur la crête de Bège.
En bas, le village d’Auzat et son « stade olympique » légué par Péchiney à la fermeture de l’usine d’aluminium.



Le sentier balisé change de versant et file maintenant vers l’ouest en direction du lointain Port de Saleix, porte d’entrée du Couserans.



Nous l’abandonnons pour prendre la crête qui va nous ramener vers la voiture. Tout de suite, le ton est donné : ça monte très dur et le sentier est à peine marqué au sol, sans balisage ni cairn. Mais aucune erreur n’est possible : il faut rester sur le fil !







Des regards vers l’arrière permettent de juger de l’altitude péniblement gagnée.





S'élever, toujours s'élever…







Enfin le premier des 4 sommets majeurs qui marquent cette crête, le Pic de Fouroul, est en vue.



Tout au fond, barrant la vallée, le Port de Saleix.



Les cabanes pastorales du col de la Crouzette marquant l’entrée dans la haute vallée de Saleix sont déjà très basses.



La pente est maintenant moins sévère et le sommet se rapproche vite.





Passé le Pic de Fouroul, ça continue de monter, mais bien plus « gentiment ». Tout en haut, c’est le second sommet, le Pic de Gréoula.



Le Port de Saleix s’est bien rapproché et les sommets du Couserans sont maintenant visibles.







En face de nous, ce sont le Roc Nègre et le massif de Bassiès en arrière plan (Cap de Fum, Pic Rouge de Belcaire, Pic Rouge de Bassiès) : les étangs de Bassiès sont entre les deux lignes de crête, totalement invisibles.



La progression continue sur des pentes assez faciles.











Le sommet est atteint. Derrière nous, la crête que nous venons de parcourir.



Vers l'avant, une immense dépression nous sépare du sommet suivant, celui de Bizourtouse. Tout au fond, dépassant à peine, c’est le Mont-Ceint, point le plus haut de notre circuit.





La crête reliant les deux sommets s’incurve en décrivant un arc de cercle vers la droite. Mais elle est infranchissable !
Il faut donc trouver le sentier qui descend sous cette arête et passe à mi-hauteur entre les rochers de Coumebelle et le fond de la cuvette. Nous voici sur ce sentier : après une sévère descente, il va nous amener sur les bords d’une petite dépression que l’on devine tout au fond, à droite du pin du premier plan. De là,il faudra rejoindre la crête en passant entre les névés.







A gauche, le fond de la cuvette.



Nous sommes maintenant sur le bord de la doline supérieure avec, au fond, le Pic de Gréoula d’où nous venons.



Bien que plus très loin, le sommet de Bizourtouse est péniblement atteint.
Un regard en arrière vers le Gréoula pour se donner du courage !



Le Mont-Ceint est devant, mais ce n'est pas gagné ! Une autre dépression (Le Clot d’Ingarolle) nous sépare encore de lui.



Il faut descendre au col de Bizourtouse sur la droite et de là, remonter vers l’encolure qui sépare le petit sommet du Pic de Taupe d’Ourse (un joli non !) et le Mont-Ceint.





A gauche, le Clot d’Ingarolle.



Nous voici au col et au pied du mur.



Le sentier est peu marqué et le cheminement pénible. Le Mont-Ceint a déjà des visiteurs qui sont montés du Port de Saleix.





Le petit col est atteint et c’est la montée finale. Derrière, le Clot d’Ingarolle, les sommets de Bizoutouse et de Gréoula.





Sur le côté, l’étang d’Alate et le cirque de Bassiès (le Port de Saleix est caché par l’épaulement du premier plan).



Voilà, la petite corniche de neige en fin de vie est facilement contournée et c’est le sommet…

Le Port de Saleix dessous.



L’alignement Bizourtouse-Gréoula.



Et enfin le Port de Lers qu’il suffit maintenant rejoindre, 570 m plu bas.







A bientôt.

Bonsoir Michel et bonsoir à tous

Beau reportage et belles photos .
Très bien d'inclure un personnage dans le champ de prise de vue , ça donne une échelle de grandeur .
C'est vraiment un beau coin , il reste de beaux endroits en France .

Ça fait combien de km en tout cette randonnée ????

A++

Bonsoir.

Pour les kms, je ne sais pas te répondre.
En montagne, on compte en heures de marche et en mètres de dénivelé : ces deux paramètres rendent assez bien compte de la difficulté (ou de la facilité) d'une randonnée.

Pour celle-ci : 8 heures de marche et environ 1400 m de dénivelé.

A bientôt.

Bonjour à tous.

Tout à fait à la fin du parcours, dans un secteur assez humide, nous avons trouvé ces fleurs. Nous les avons d'abord prises pour une variété particulière de fritillaires. Après recherche, ce seraient des Benoîtes des ruisseaux (Geum rivale).
Malheureusement, les photos ne sont pas de bonne qualité (mes jambes ont eu un peu de mal à se plier...).





Pour ceux que cela intéresse, voici la carte de la randonnée :



A bientôt.

Salut,

la photo avec la cascade au debut est tout simplement magnifique.

Et les paysages... j'adore la montagne en ete!


Merci pour ces photos et ces explications.

A+

Freddy

Salut à tous,

Geum rivale, peut-être ???
C'est de mieux en mieux, milles mercis, magnifiques photos encore une fois.
Je pense qu'il faudrait investir dans une caméra, mais c'est ce que je pense.
Quelle belle nature !
Cordialement, Michel.

Bonsoir Michel

Je me régale vraiment à tes balades et je t'envie, bravo bravo.
Tu devrais peut-être faire un petit guide de toutes tes balades.
8 heures de marche et 1400 m de dénivelé, chapeau, je souffle en remontant chez moi à pied et je suis à 90 m d'altitude.

Thierry

Bonsoir à tous,bonsoir Michel !

Joli, comme d'hab, mais il manque les odeurs...( )

Une question technique : sauf erreur de ma part,il n'y a pas de tutoriel pour expliquer comment mettre BEAUCOUP de photos.

Si tu voulais bien nous expliquer comment tu fais...

Merci et bonne soirée à tous

Michel des Vosges

bonjour Michel31
merci pour cette trés belle balade,les photos sont magnifiques,superbe endroit

Bonjour à tous.

Pour répondre à Michel des Vosges, je n'ai pas de recette miracle pour mettre beaucoup de photos.

Voici ce que je fais quand il y a beaucoup de texte dans je sujet :
- je saisis le texte dans Word,
- à la place de chaque photo, je saisis son n° (le nom du fichier),
- j'en profite pour surveiller les fautes d'orthographe (!),
- quand la saisie est finie (elle peut se faire en plusieurs passages), j'ouvre le sujet et je fais "copier-coller",
- le reprends le texte et j'applique, pour chacune des photos l'une après l'autre, la procédure classique de chargement dans "Servimg",
- Ensuite, "Prévisualiser" pour voir ce que ça donnne et enfin "Envoyer".

Voilà.

A bientôt.

Bonsoir à tous bonsoir Michel

Merci, mais je suis déçu : je croyais qu'il existait une méthode ultra rapide !!!

Tu as d'autant plus de mérite, et en plus, il y a la qualité : bravo

Bonne soirée à tous

Michel des Vosges

Bonjour à tous.

Aujourd’hui, retour dans le Couserans et plus particulièrement dans le massif du Mont Valier. Le but est, encore une fois, de parcourir une crête faite d’une multitude de sommets dont seuls 3 sont nommés.
Pour le point de départ, il existe deux possibilités situées à une altitude assez importante (1400m ou plus) : le Col de la Core ou bien le parking de la route forestière du Mont Noir. Nous choisissons de partir de plus bas en nous garant au bord de l’étang de Bethmale.
Le début de l’itinéraire se déroule en grande partie en forêt en suivant le GR10 jusqu’à la cabane d’Eliet.



Ici, Le GR10 se divise en deux : vers la gauche, à l’est, il file en direction du Col de la Core et vers la droite, il monte en quelques minutes au Col d’Auédole (visible au dessus de la cabane) puis part vers l’étang d’Ayes.
Le Tuc de la Seube, dernier des sommets de la crête du retour, est maintenant visible.



Avec le GR10, nous montons au col. Au-delà, c’est le haut du cirque de Campuls en direction de l’étang d’Ayes.



Le Tuc de la Seube n’est pas rassurant du tout…



Nous quittons définitivement le GR10 pour partir en direction de la vallée d’Eychelle. La cabane d’Eliet s’éloigne petit à petit.





Vers l’est, le col de la Core.



Déjà bien bas, l’étang de Bethmale.



L’étang d’Eychelle est assez vite atteint.







Maintenant, c’est la paysage souvent chaotique de la haute vallée d’Eychelle.









Au fond, barrant la vallée, c’est le col de la Crouzette.





Juste avant d’arriver au col, une vue sur la vallée.



« Crouzette » signifie « petite croix » en langage pyrénéen. Donc…







Du col, la vue est intéressante. Vers le nord, le Tuc d’Eychelle et la lointaine plaine.



Vers le sud, le Mont Valier et l’austère « désert » des Lauzets, au dessus des étangs de Milouga, Arauech et Crusous (malheureusement invisibles car trop encaissés).



Nous sommes à l’extrémité sud de notre circuit et nous devons rejoindre le 1er sommet de « notre » crête : le Cap d’Auternac. Il n’est plus très loin, mais la pente promet d’être sévère.



Effectivement, la promesse est tenue !
En plus, il y a un vent violent qui risque à tout moment d’emporter les casquettes.



Sur le versant opposé, c’est le Tuc de la Messe.



Notre sommet est tout près. Au loin, le Mont Valier, toujours aussi majestueux, reçoit la visite d’un hélicoptère (peut-être de la sécurité civile).





Nous sommes maintenant bien installés sur la crête et la vallée d’Eychelle est sous nos pieds.



Vers l’avant, les sommets successifs qui nous attendent...





Vers l’arrière, la partie de la crête déjà parcourue.



Notre progression continue. Un regard vers l’arrière.



Une vue vers l’avant.



En contrebas, une marmotte surprise de nous voir.



Nous continuons d’avancer. Vers l’arrière :



Vers l’avant :



Il faut toujours avancer. Vers l’avant, les sommets se succèdent…



Un regard vers l’arrière…



Devant, il ne reste plus que les deux derniers sommets de la crête : le sommet de Peyre Blanque et le Tuc de la Seube aperçu le matin.



Blotti au creux de la vallée, le cœur de l’étang d’Eychelle.



C’est maintenant devenu une coutume : vers l’arrière…



Vers l’avant…



Nous voici au Tuc de la Seube. Vers l’arrière, la crête parcourue.





La haute vallée d’Eychelle avec le col de la Crouzette, le Tuc de la Masse, le Pic de Lampau et la moitié du Mont Valier.



Vers l’avant, il n’y a plus rien ! Seulement le col d’Auédole tout en bas.



D’ici, l’étang d’Ayes est bien visible.



Voilà, il ne reste plus qu’à faire la descente finale jusqu’au col.



Puis retrouver le GR10 qui va nous ramener sur les rives de l‘étang de Bethmale.





A bientôt.

bonjour Michel31,et tous

encore une superbe balade,je vous envie moi qui ne suis plus foutu de faire plus de 5 klms a pieds,depuis mon (avc)
avant j'étais un bon marcheur,mon projet,si j'avais rien eu,le jr 20,maintenant ca reste seulement un réve
continuez vos belles balades,ca nous fait réver

Bonjour gemaf.

Cinq kms, c'est déjà pas mal !
Il faut que chacun fasse en fonction de ses possibilités et de ses éventuels ennuis de santé.
Quant au GR20, il est réputé pour être le plus dur de tous les sentiers de Grandes Randonnées. Peut-être aussi le plus beau.
Pour nous également, il restera un rêve...

A bientôt.

Bonsoir,
Un GRAND MERCI à Françoise et Michel. Comme dirait P Sébastien , "pourvu que ça dure, la belle aventure". Bonne soirée et bonne santé. Amicalement JF L

Bonjour à tous.

Encore fois, notre intention est de parcourir une crête. Une crête qui nous « titille » depuis quelques temps. Elle est située à droite du Port de Saleix, juste à la limite entre le Couserans et le Vicdessos, et elle relie le Mont Garias au Pic de Cabanatous.

Le départ se fait du lieu-dit Coumebière, sur la route qui monte d'Aulus-les-Bains en direction du col d’Agnès.
Nous sommes toujours sur le GR10 : il grimpe au Port de Saleix en suivant les vastes lacets de l’ancienne piste qui a servi a transférer vers la vallée d’Aulus le minerai de fer produit par la mine de Rancié dans le Vicdessos.
La relative faiblesse de la pente du GR10 rend la montée assez longue. Pour aller plus vite, nous choisissons d’emprunter un sentier quasiment rectiligne qui suit l’axe de la vallée. C’est un peu plus dur que par le GR10, mais ça va bien plus vite : 50 minutes à peine pour faire les 400 m de dénivelée qui séparent Coumebière du Port de Saleix.



Nous voici donc arrivés au col.
Vers l’ouest, c’est le Couserans avec Aulus-les-Bains au fond de la vallée.



Vers l’est, c’est le Vicdessos avec la haute vallée de Saleix.



Avec le GR10, nous partons vers la droite. En face, sur le versant opposé, c’est l’itinéraire de montée vers le Mont Ceint.



Au dessus de la vallée de Saleix, la crête « Gréoula-Bizourouse » parcourue il y a 3 semaines se distingue de mieux en mieux.



Nous rapprochons de l’étang d’Alate, mais en restant nettement au dessus.



Au sud, c’est la vallée du Garbet avec l’étang du même nom.



Loin sous nos pieds, c’est l’étang de Labant situé sur l’itinéraire du retour.



Nous venons de quitter le GR10 qui descend vers l’étang d’Alate et, au delà, ceux de Bassiès et continuons à gravir la crête.



Une vue sur le Pic de Gréoula, le Sommet de Bizourtouse et le Mont Ceint.



Nous sommes sur le premier sommet de la crête : le Mont Garias. Le Pic de Cabanatous est tout au bout mais ce qui nous attend n’est pas très rassurant.



Effectivement, le cheminement n’est pas facile, facile...



Une vue sur ce qui est fait.



L’étang d’Alate au dessous.



Ce qui reste à faire.



Ce n’est pas évident à première vue, mais le sentier est maintenant plus facile à suivre !



Nous voici enfin arrivés au Pic de Cabanatous. C’est sans regret que nous nous éloignons de ce passage délicat…





Une vue de la crête qui relie la Serre de Bège au Pic de Gréoula.



La grande dépression qui suit le Pic de Gréoula.



Ensuite, on voit le Sommet de Bizourtouse et le Mont Ceint.



Entre les deux, ce sont le Clot d’Ingarolle et le col de Bizourtouse.



Sur l’autre vallée, les étangs de Bassiès sont maintenant visibles.



Le refuge de Bassiès sur le GR10.



Devant nous, le sentier a maintenant visage humain.





Tout là haut, le Pic Rouge de Bassiès maintenant bien déneigé.



Un dernier regard sur la fin de notre crête.



Vers l’est ,on aperçoit l’étang de Labant et les mines des Argentières situés sur l’itinéraire du retour.





La traversée est finie. Nous sommes au col des Fouzes et la vue sur les étangs de Bassiès est magnifique.



C’est maintenant le début de la longue descente vers l’étang de Labant.



Bien plus bas, nous apercevons la montée du Col d’Agnès.



Juste en face, ce sont les vestiges de la mine des Argentières.



Tout à côté, c’est l’étang de Labant.



Et enfin, tout là haut, notre satanée crête…



A bientôt.

Bonjour et MERCI pour ce reportage...magnifique comme toujours!

il y a des moments, où on a la respiration coupée en regardant les images.....
comme ici :


a+
JP

Bonjour tous
Merci Michel de nous avoir fait profiter d'une si jolie randonnée, superbes photos et avec commentaire SVP
Ca donne envie.
Gérard

Salut à tous !

Regarder ça avec une bonne bière fraîche, et bien assis au fond du fauteuil, c'est le top !

A votre santé et merci

Michel des Vosges

bonjour Michel31,et tous
encore une trés belle balade,avec des photos extra,merci de faire partager cela
pour faire de telles photos,tu doit avoir un bon apareil ,je pense,et,le coup d'oeil du photographe
en tous cas,merci

Bonjour gemaf.

L'appareil est un reflex avec un zoom de 18-135 mm.
Il a effectivement des avantages, mais aussi un inconvénient : son encombrement. Même dans sa sacoche passée autour du cou, il gêne considérablement dans les passages difficiles.
Mais bon, nous faisons avec.

Quant à l'oeil du photographe, il n'a vraiment rien d'exceptionnel !

A bientôt.

Bonjour à tous.

Depuis chez nous, la partie visible de la chaîne s’arrête vers l’ouest au niveau du Pic de Montaigu, au sud de la ville de Tarbes. Lorsque l’on circule entre Lannemezan, Tarbes et Pau, on ne peut pas manquer d'apercevoir ce superbe sommet qui dresse sa silhouette effilée près du Pic du Midi de Bigorre.
Le voici vu de chez nous, à l’extrême droite de la deuxième photo.





Notre projet est d’aller visiter ce sommet.
Il y a plusieurs façon d’y accéder. Pour nous, qui n’y sommes encore jamais montés, ce sera par la voie classique depuis la vallée de Lesponne au sud de Bagnères-de-bigorre.
Donc, arrêt de la voiture au pont Cérétou sur la route forestière du Hourc.



Pour la montée, ce sera la voie directe. Le retour se fera par la crête de Culentous, si tout va bien.

D’entrée, ça monte raide sans possibilité d’échauffement. La vallée est assez encaissée, sans aucun point de vue.



Nous arrivons à la cabane d’Arrolets.



Le sentier s’élève en se faufilant dans une gorge étroite.





A la sortie, le col de Tos devient visible.





Sans aucun lacet, la montée est un peu ingrate.





A partir du col, le paysage change.
Le chemin d’accès avec, à gauche, les crêtes de l’itinéraire de retour.



Vers l’ouest, les montagnes de Hautacam et la jolie cabane d’Ilouerde juste sous le col.





C’est pas tout, mais il faut continuer à monter en prenant l’arête vers le sud.





Bientôt, ce sont les lacs de Montaigu.





Maintenant, il faut rejoindre l’encolure où se trouvent déjà des marcheurs.





Le sommet que l'on voit n’est, hélas, pas encore le Montaigu : ce n’est que le promontoire sud-ouest de la crête qui relie la Pène Malo au Montaigu.





Vers le nord, les crêtes du retour et la ville de Tarbes.





Il faut continuer à monter. Avant l’arrivée au petit col, le Montaigu se découvre enfin, tout là haut.



Vus du col, les lacs de Montaigu et la station de ski de Hautacam.







On se rapproche.





Le Pic du Midi est maintenant visible (mais avec un mauvais éclairage).





A force de progresser, nous touchons au but. Le Montaigu est un pic bicéphale : il est constitué de 2 sommets rapprochés qui ont exactement de même altitude. Le sentier débouche sur la crête entre les deux.



Une fois sur la crête, nous partons à gauche vers le « vrai » sommet. Le panorama est majestueux.



Vers le sud, la cascade qui descend du Lac Bleu à peine visible.



Le Pic du Midi.



Les crêtes du retour.



La vallée de Lesponne avec la piste du Hourc où la voiture nous attend.



C’est maintenant la longue redescente vers le col de Tos.
Le vautour fauve nous surveille.



Juste avant d’arriver aux lacs, une vue sur le col de Tos, le Pic de l’Oussouet, le col et la crête de Culentous et sommet de La Peyre. Il va falloir parcourir tout cela avant de plonger vers le bois de Baysaou (dont on aperçoit l’extrémité haute) et enfin la piste.



Il commence à faire soif...



Le col est rapidement rejoint et c’est l’heure de manger. Ensuite, c’est la montée en direction de la crête de Culentous.
La tentation est grande de regarder vers l‘arrière.







La sentier contourne le pic l’Oussouet par le sud et rejoint directement le col de Culentous. Mais derrière, la crête est nettement plus haute…



Nous sommes maintenant sur le crête et La Peyre est devant nous.







Ici aussi, le sentier n’arrive pas tout à fait au sommet : il part à flanc puis suit l’arête est en direction du bois et de la piste. Un des derniers regards sur le seigneur des lieux.



Voilà, nous sommes au dernier lacet de la piste et la voiture n’est plus qu’à quelques centaines de mètres.
Pour boucler la boucle, la toute dernière photo, exactement l’inverse de celle prise au sommet quatre heures avant.



A bientôt.

bonjour a tous magnifiques photos vivement les prochaines

bonjour Michel31,et,tous

encore une bien jolie balade,merci pour ces belles photos

a certains moments,c'est assez escarpé,je pense,enfin,superbe

bonjour a tous, bonjour Michel

je suis toujours avec intérêt tes posts
celui ci encore plus, il me rappelle des vacances passées en 1994 et 1996 à Bagnères de Bigorre
les noms de lieux, de cols, de sommets me reviennent en mémoire
sans les avoir franchis ni parcourus, c'est comme ci j'y était allé
merci pour ces superbes photos
A+ a tous---philippe