Cartes postales anciennes (partie 1)

Je ne voudrais pas vous empêcher de répondre à la question (ci-dessus) de François...

Chez Camion Frères...une belle machine



meilleurs vœux, amis motoristes !
a+
JP

Bonjour

Encore un Duplex (1910). Peut-être déjà vu ?



Ils n'ont pas l'air bien gais les moustachus !

A bientôt

François

Bonsoir François.

J'ai trouvé un document contenant cette photo (elle serait de 1913) : http://histoire-nanterre.org/wp-content/uploads/2015/01/NI_SHN395.pdf



A bientôt.

Bonsoir

Qui pourra nous dire quel est ce moteur qui entraîne les machine de cette école. 2 gros volants à raies droites, allumage basse tension, régulateur vertical, trou rond dans le socle... :




Bon début de fin de semaine

François

Bonsoir

Pas d'idée pour ce 2 volants ,

En aurez-vous une pour ce mono-volant avec troisième palier en marche, vue de dos ?


Bon samedi soir.

François

Bonsoir,

Pour le deux volants:

Le Select" construit par Blanche et Lecaron ???

Olivier

Bravo Olivier

Effectivement ça ressemble bien à ça :
Voir Tome VII, pages 18/19.


Bonne soirée

François

Bonjour

Et là, au milieu de la cours, Poyaud/Pilter ?




Bonne sieste ou bonnes vacances.....

François

Bonsoir François.

Oui, peut-être Poyaud/Pilter !

salut
je me disait bien que je connaissait cette photo !
http://www.epreville.com/article.php3?id_article=18

j ai eu un morceau de charrue qui sortait de la bas !

bonjour
et maintentant j'ai une question
comment faisent ils le transport pour le moteur
ils etaient dans une periode ou les personnes n'avaient pas une gru ni manitou pour charger ou decharger ou pour transporter le?
amicalement
jeroen

Bonjour Jeroen

Ça peut être avec ça par exemple :



Bonne soirée

François

Encore moi

Qu'est ce qu'il entraîne ce valeureux Bernard W ? un hache-paille ou une petite batteuse ? et qu'est ce qu'il vient faire devant ces deux machins derrière, des alambics ?



Bien l'bonsoir

François

Bonsoir François.

Probablement un hache-paille.
Les deux "chaudières" sont des alambics, non ?

Bonsoir Michel

Oui, je pensais aussi à des alambics, mais les 2 bacs à côté de la machine à vapeur me font douter. Et le hache paille, il est là par hasard ou c'est la paille qui sert de combustible ?
En attendant des réponses à nos questions, en voilà une autre :


Un bel ensemble automobile scie et broyeur.Celui qui a écrit la légende de la photo n'était pas très calé ni en technique ni en orthographe. Mais c'est le moteur qui nous intéresse, je pencherais pour un américain genre IH ou Stover, mais je n'en suis pas sûr.
A bientôt

François

Bonsoir François.

Trouvée sur le net, une photo d'un alambic dit "à vases".
Il y a de la ressemblance, non ?



Pour la paille, j'ignore si elle pouvait servir de combustible.
Par définition, un "feu de paille" n'est synonyme ni de longévité, ni d'efficacité...

A bientôt.

Bonsoir
Il s'agit bien de deux alambics comme il y en a encore un à 10 km de chez mes parents en Ardèche.

La présence du coupe-paille entraîné par le moteur n'est peut-être pas si incongrue que ça :

http://www.fairesagnole.eu/page61/alcfruits.html

Les fruits sont versés dans des tonneaux ou des cuves et laissés à fermenter naturellement, dans un local tempéré. La température la plus convenable à une fermentation régulière est d'environ 20° : pour opérer dans de bonnes conditions, on évitera, autant que possible, de la laisser descendre au-dessous de 15° ou s'élever à plus de 25.
La fermentation terminée, c'est-à-dire lorsque la matière ne dégage plus de gaz carbonique, on peut distiller en mettant le tout, solide et liquide dans la chaudière.
Dans le cas où l'on ne pourrait distiller immédiatement, il faudrait, un peu avant que la fermentation ne fût à sa fin, remplir complètement les fermenteurs et les boucher hermétiquement, afin de tenir les moûts à l'abri du contact de l'air. Un barboteur permet de tenir le moût à l'abri de l'air tout en laissant s'échapper le gaz carbonique. On conserve ainsi les moûts plusieurs mois ; mais si on les laissait à découvert des fermentations secondaires se formeraient rapidement aux dépens de l'alcool, ce qui diminuerait d'autant la quantité de produits à obtenir et en altérerait sensiblement la qualité.
Il faut avoir soin, quand on distille des fruits préparés d'après cette méthode, de mettre dans l'alambic une certaine quantité d'eau, afin que les matières ne soient pas trop épaisses, et de porter cette eau à l'ébullition avant d'y introduire le moût fermenté. Si l'on possède une grille de fond, on dispose une couche de paille dessus ou dessous, puis on verse la quantité d'eau nécessaire, et, quand elle bout, on y ajoute les fruits, pulpes et jus ensemble, dans un sac ou poche, de grandeur appropriée, en toile à sac ordinaire et dont le fond doit reposer sur la grille de l'alambic. Le sac baigne dans le liquide formé de l'eau et du jus passant à travers la toile. On attache l'ouverture du sac de façon que les matières épaisses n'en sortent pas. En opérant ainsi, on ne brûle pas le contenu. On empêche aussi les fruits de s'attacher, en se servant d'un appareil muni d'un agitateur. La chauffe doit être conduite lentement avec un feu doux.

Bonjour

Merci de vos réponses et de vos recherches. Il s'agit donc bien d'alambics. Alain K. me fait la proposition suivante : "je pense que les alambics servaient pour  la lavande ou l'orge".

Bonne semaine

François

Pour l'ensemble auto-scie, on me propose Frairbanks Morse Type T sur un forum américain, mais il y a un doute car le gros pignon de l'arbre à came devrait être à l'opposé. J'attends d'autres précisions, je vous tiendrai au courant.

Bon lundi

François

salut
concernant les alambics il sagit d alambics a cuves separées ! pendant qu une est en service une autre est en cours de remplisage et l autre en etape de vidange ou de rechauffage ! le principe de mettre de la paille dans la cuve pour eviter le mout de bruler ne tient pas dans ce cas de figure puisque les cuves sont alimentées par de la vapeur dans ces 3 cuves ( donc le risque de bruler est neant )

pour distiller de la lavande ce n est pas ce style d alambic qu il faut ! c est un alambic a colonne afin que la vapeur passe dans plusieurs etages pour extraire l huile essensielle des fleurs ( ce type d alambic possede une seule cuve qui est tres haute d ou le nom colonne )

pour l orge ben la je voudrait qu on mexplique car a part distiller du grain malté fermenté je voit pas d autre utilisation de l orge

par contre mon avis est que la paille était juste employée comme conbustible pour les deux chaudières

bonsoir a tous
+1

Bonsoir
La piste du Fairbanks Morse type T n'est peut être pas si mauvaise
QPhilippe

Re,

Voilà 2 photos d'un type T spécial  trouvées sur internet .




Voici le lien complet

https://www.gasenginemagazine.com/gas-engines/1899-fairbanks-morse-type-t-special-electric-6-hp-engine

Philippe

Bonsoir

Merci Philippe, en effet il semble bien que ce moteur se rapproche d'un Fairbanks Morse type T.

Autre chose, j'ai acheté cette carte postale ancienne :



On y voit 2 moteurs, celui du fond me semble être un Dudbridge :





Par contre, je n'ai pas d'idée pour le plus petit au premier plan :



Ça vous dit quelque chose ?

Bonne fin de journée

François

Bonjour

A propos de Dudbridge, Gerco m'a envoyé une photo d'un moteur entraînant des dynamos, il s'agit probablement là aussi d'un Dudbridge, mais plus gros, de 5 à 28 CV selon les documents :





Bon jeudi

François