L'arlésienne

Bonjour Francois, Bonjour à tous,

Ne serait ce pas tout simplement la poulie à embrayage automatique "centrifuge" ?

Bonne journée

Bonjour

Effectivement, Corentin, tu as sans doute raison, si cette poulie est montée avec embrayage centrifuge des 2 côtés, ça peut permettre de démarrer les moteurs l'un après l'autre. Par contre, "tension de la courroie", je ne comprends pas, à moins de déplacer tout le bloc moteur ?

L'embrayage centrifuge :


Sur un C3 de la famille Leroy :


Bon début de semaine.

François

Bonjour a tous
Je pense aussi que d'après la notice de Aloys , ce serait l'ensemble du bloc ainsi formé qui se déplace pour tendre ou détendre la courroie et ainsi démarrer a vide les moteurs .
Pour l 'éventuel embrayage centrifuge auquel j'avais aussi pensé , lorsque le deuxième moteur démarrerait , serait-il synchronisé par rapport au premier pour que l'ensemble puisse tourner régulièrement ? a moins que les deux axes d'arbres de vilo soient bien solidaires et démarrage du premier avec le deuxième décompressé ?
Je suis peut-être complètement a coté de la plaque . Le mystère demeure .
Dommage qu'on ne puisse pas en voir un pour l'autopsier  
@+ Louis

Bonjour Louis.

Moi aussi, en lisant le texte, j'ai pensé à un dispositif de tension (genre galet tendeur ?) monté sur roulement à billes. Mais on devrait le voir sur les dessins.

Une autre incompréhension : le texte parle d'un "accouplement à 90°". C'est plutôt 180°, non ?

Décidément la "bernardologie" est une science qui possède encore des zones bien obscures.

A bientôt.

Bonjour Michel
Les 90 degrés m'ont aussi intrigué puisque les moteurs sont face a face.
Autre déduction possible de ces 90° mais à mon avis peu probable  : le décalage d'allumage de l'un par rapport a l'autre mais là aussi , je verrais mieux 360 ° soit la moitié d'un cycle complet quatre temps .
@+ Louis

Bonjour Louis.

J'avais aussi pensé au décalage des volants. Et comme toi, il me semble que le décalage idéal est d'un demi-cycle, c'est à dire 360°.

Il y a une autre interrogation qui subsiste : un des moteurs doit tourner "à l'envers" avec les conséquences que cela entraîne au niveau de la distribution, de la magnéto, etc.

A suivre donc.

Bonsoir
Vous le savez peut-être, je suis en cours d'écriture d'un livre sur les moteurs anglais vendus en France. C'est dans ce cadre-là qu'Olivier d'Evreux m'a fait passer une photo de ce couple de moteurs Petter. C'est le même principe que notre "Arlésienne", ce système a donc été essayé par plusieurs constructeurs. Je n'ai pas d'autre information sur la réussite et l'importance de la fabrication  de ces jumeaux Junior, "Junior Twin" :


J'ai juste une document qui ressemble à cet accouplement, mais il s'agit là d'un moteur et d'un compresseur, pas de deux moteurs :


Bons ronflements

François

Bonjour a tous

Il y aurait donc eu des siamois  chez plusieurs constructeurs.
Le Double Petter présenté en photo semble moins compliqué que ceux que Bernard a construit.
Les deux moteurs sont posés dans le même sens et non-pas opposés en face à face.
Il n'y a donc pas de modif à réaliser pour le sens de rotation.
Cela en fait quand-même un bel ensemble.
Existe t'il encore quelques spécimens de ce Petter juior twin ?

Bonne chance François, pour ton prochain livre !!!
@+ Louis

Bonjour Louis.

J'avais aussi remarqué cela.
Par contre, cela oblige à modifier un des moteurs :
- permutation des volants,
- déplacement de certains organes (régulation, magnéto...).

A bientôt.